Pour que nous ayons un avenir

Réflexions sur qui nous sommes et notre avenir.

2005/12/19

The Culture of Critique par Kevin MacDonald, un résumé de Stanley Hornbeck


Photo: le Professeur Kevin MacDonald, professeur de psychologie à l'Université de Long Beach en Californie.



Commençons par présenter une traduction personnelle d'un texte m'ayant apporté une grande lumière sur le monde actuel.

Il s’agit d’un résumé écrit par Stanley Hornbeck de l’ouvrage du professeur MacDonald The Culture of Critique: An Evolutionary Analysis of Jewish Involvement in Twentieth-Century Intellectual and Political Movements, Praeger (1998), 379 pp.

Vous pouvez retrouver le texte en version intégrale ici :

http://www.heretical.com/miscellx/culturec.html


À cette adresse, il est possible de se procurer les ouvrages de Kevin MacDonald :

http://www.csulb.edu/~kmacd/books.html



The Culture of Critique résumé par Stanley Hornbeck


Dans The Culture of Critique, Kevin MacDonald soutient avec force une thèse sur l’influence des juifs dans les sociétés occidentales, venant mettre en contexte la culpabilité de l’Europe envers ce peuple généralement tenu comme étant le plus persécuté de l’histoire. Cette thèse démontre que certains courants intellectuels, largement établis et promus par des juifs, étaient des moyens conscients ou inconscients, pour influencer les sociétés européennes d’une manière largement bénéfique à l’intérêt des juifs, mais domageable pour les sociétés non-juives.

The Culture of Critique termine une impressionnante trilogie du Professeur MacDonald sur le rôle des juifs dans l’histoire, écrite du point de vue de la socio-biologie. Le premier volume, A People that Shall Dwell Alone, décrit l’intense sentiment des juifs de leur caractère unique qui les maintint génétiquement séparés de leurs populations d’accueil. Le second volume, Separation and its discontents, attribut l’anti-sémitisme à leur domination des sphères commerciales et intellectuelles dans la société non-juive et à leur refus de s’assimiler.

Ces mouvements intellectuels dont parle The Culture of Critique sont, le marxisme, la psychanalyse freudienne, l’école de sociologie de Francfort et l’anthropologie boasnienne. Professeur MacDonald retrace également le rôle critique des juifs dans la promotion du multiculturalisme et de l’immigration. Il soutient que ce fut en tant que juif pour l’intérêt juif, démontrant ainsi une solidarité ethnique que justement ils réussirent à rendre immorale lorsque affichée par les autres groupes.


Célébrons la diversité

Les juifs travaillèrent à jeter le discrédit sur les institutions fondamentales de la société des gentils (manière traditionnelle d’appeler les non-juifs), à savoir le patriotisme, la loyauté raciale, la morale chrétienne, l’homogénéité sociale et la licence sexuelle, mais tout en préservant ces valeurs à l’intérieur de leur communauté, notamment en relation avec l’État d’Israël.

Cette attitude correspond à l’intérêt juif dans la perspective d’une grande stratégie de survie, qui consiste à vivre parmi les autres, tout en conservant un esprit communautaire à part de la société d’accueil. Cette attitude sera moins visible et moins sujette à la réprobation si au contraire de la leur, l’identité nationale et raciale de la société d’accueille est diluée et affaiblie.

Professeur MacDonald site Mr. Charles Silberman : "American Jews are committed to cultural tolerance because of their belief - one firmly rooted in history - that Jews are safe only in a society acceptant of a wide range of attitudes and behaviors, as well as a diversity of religious and ethnic groups. It is this belief, for example, not approval of homosexuality, that leads an overwhelming majority of American Jews to endorse 'gay rights' and to take a liberal stance on most other so-called 'social' issues."

“Les Juifs américains sont dévoués à la cause de la tolérance culturelle de par leur croyance, fermement ancrée dans leur histoire, que les juifs sont en sûreté seulement dans les sociétés qui acceptent un large éventail d’attitudes et de comportements, autant religieux qu’ethniques. C’est pourquoi la majorité des juifs américains appuie la cause gai, tout comme la plupart des causes sociales dites libérales, sans pourtant approuver l’homosexualité. »

Ainsi, le slogan « La diversité fait notre force » est plutôt fait pour diluer l’homogénéité de la société et ainsi améliorer la sécurité des juifs. Ce qui est important, c’est ce qui est bon pour les juifs non ce qui est bon pour le pays.

Ainsi, un économiste juif à pu déclarer voter démocrate au États-Unis, bien que les Républicains aient selon lui des politiques économiques plus sensées. Car : "I'd rather live in a country governed by the faces I saw at the Democratic convention than those I saw at the Republican convention."

« Je vivrais plus volontiers dans un pays peuplé de visages comme ceux que je vois dans les conventions démocrates plutôt que Républicaines. »

Ou encore, Mr Earl Raab, ancien président de la très juive Brandeis University, montrait sa satisfaction de ce que vers 2050, les blancs seront une minorité aux États-Unis, et qu’ainsi aucun parti d’idéologie pro-Aryenne ne pourra plus jamais prévaloir. Le peuple fondateur et bâtisseur du pays peut disparaître, peut être sacrifié, si cela est bon pour les juifs.

Il continue : "We [Jews] have been nourishing the American climate of opposition to bigotry for about half a century. That climate has not yet been perfected, but the heterogeneous nature of our population tends to make it irreversible..."

“Nous (juifs) avons nourri le mouvement d’opposition à la bigoterie durant un demi-siècle. Ce climat n’a pas été mené à perfection. Mais le caractère hétérogène de la population rend la chose irréversible… »

Professeur MacDonald retrace les diverses sources de cette promotion de la diversité.

Franz Boas (1858-1942) réussit presque à lui-seul, à redéfinir les contours de l’anthropologie en éliminant toute les explications à caractère biologique pour expliquer les comportements et les cultures humaines. Lui-même et ses disciples, avec les exceptions notable de Margaret Mead et Ruth Benedict, étaient juifs ayant une très forte identification juive. Mais que ce mouvement ait poursuivit un intérêt juif, a toujours été très bien caché.

En 1915, Boas et ses étudiants contrôlaient l’American Anthropological Association et vers 1926, ils étaient à la tête des départements d’anthropologie de toute les universités importantes des États-Unies. Imposant une vision anti-génétique où la race et la biologie sont déterminées sans importance, ils fournirent le support intellectuel aux politiques d’immigration sans contrôle, d’intégration et de métissage des races. Et aussi, l’environnement étant le seul facteur d’influence sur les sociétés et les races étant semblables dans leur potentialité à développer la civilisation, toutes les difficultés des peuples non-blancs devaient être mises sur le compte de l’oppression par les blancs. Furent justifiés aussi, les programmes gouvernementaux ruineux destinés à intervenir sur les environnements sociaux.

Le mouvement des « Droits Civils » a été la conséquence naturelle de la pensée boasnienne. Toutes les races étant semblables, toutes barrières entre elles sont immorales. Ce fut l’initiative de juifs qui soutint la création de la NAACP (National Association for the Advancement of Colored People) et jusqu’en 1975, tous les présidents de l’association étaient juifs. [À l’époque, la nomination du premier noir après un siècle d’existence a certainement été traitée par les médias comme une démonstration du racisme de la société.] Le nationaliste noir Marcus Garvey d’ailleurs en 1917, était ressorti furieux des bureaux de l’association n’y ayant vu que des blancs!

Le texte des lois qui découlèrent de ce mouvement des droits civils, où les juifs jouèrent un rôle critique, étaient en fait écrit par des juifs, appartenant à ces agences juives, introduites par des législateurs juifs.

L’école boasnienne d’anthropologie, a également développé une pensée critique de l’occident, lui reprochant son homogénéité, son caractère répressif en regard de la sexualité en particulier, en contraste avec une vision idyllique des cultures du tiers-monde.

Ainsi, tout ce qui est propre à l’homme occidental devint l’objet d’un sens critique surdéveloppé, alors que tout ce qui est primitif sera jugé avec indulgence, attribuant même la barbarie et la cruauté que l’on y retrouve, à l’influence de l’homme blanc.


La Personnalité Autoritaire

Pour ouvrir les sociétés d’origine européenne à l’immigration, il fallait délégitimer la solidarité raciale et l’attachement aux traditions. L’école de sociologie de Frankfort s’est dédiée à cette tâche. Max Horkheimer écrivit : « Research would be able here to transform itself directly into progaganda ».

“La recherche doit directement devenir de la propagande.”

Outre Mr Horkheimer, ce mouvement, financé par un milliardaire juif durant la République de Weimar, comprenait parmi ses membres les plus importants, T.W. Adorno, Erich Fromm et Herbert Marcuse. Tous étaient juifs et ressentaient une intense identité juive. À l’arrivée du nazisme, cette école émigra aux États-Unis à l’Université de Berkeley.

Ce mouvement intellectuel produisit des ouvrages tels, Anti-Semitism and Emotional Disorder et surtout Authoritarian Personality.

Ce dernier ouvrage, par T.W. Adorno, établit la prémisse que toute forme de filiation, même la famille immédiate!, a pour cause un désordre mental. Aucune distinction entre les groupes ne peut être justifiées, aussi relèvent-elles du préjugé.

Mais cette loyauté à la tradition et au groupe décriée par Horkheimer et Adorno, constitue précisément le support de l’identité juive. Mais leur critique acerbe ne concerne toujours que les sociétés non-juives. Et alors que la réussite sociale et l’investissement parentale sont des valeurs primordiales dans la communauté juive, ils valorisent la vie de bohème, la promiscuité sexuelle et la pauvreté. The Authoritarian Personality eut une grande influence sur la révolution des années soixantes.

Est notée aussi, la contribution de l’intellectuel juif Français Jacques Dérida, qui découle de cette école.

« The idea behind deconstruction is to deconstruct the workings of strong nation-states with powerful immigration policies, to deconstruct the rhetoric of nationalism, the politics of place, the metaphysics of native land and native tongue… The idea is to disarm the bombs… of identity that nation-states build to defend themselves against the stranger, against Jews and Arabs and immigrants… »

(Traduit par moi du mieux possible.)

“L’idée derrière la déconstruction est de déconstruire l’œuvre des États-Nations dotés de politiques d’immigration stricte, de déconstruire la rhétorique du nationalisme, la politique de l’espace (national?), la métaphysique de la terre natale et de la langue maternelle… L’idée est de désamorcer la bombe… de l’identité de l’État-Nation inventée pour se défendre contre les étrangers, contre le juif et l’arabe et l’immigré »

[Est-il nécessaire de rappeler qu’il faut un lien directe avec le peuple juif pour émigrer en Israël.]

Ainsi, ces courants de pensée ont eut pour objet d’associer la moindre des préoccupations exprimées par les populations d’origine européenne face à leur statut, leur avenir et leur éclipse possible, comme étant irrationnelles et le symptôme d’une psychopathologie et ce malgré qu’ils étaient soutenu par des auteurs appartenant eux-mêmes au groupe sans doute le plus ethnocentrique au monde. Et aujourd’hui, preuve de la réussite de ce mouvement, un défenseur des intérêts spécifiques de la race blanche sera vu comme une personne haineuse ayant une personnalité inadéquate.


Immigration

De tout les groupes ethniques, seul les juifs ont fait la promotion de l’immigration au profit de tous les groupes, et non pas seulement au leur, et le seul aussi à l’avoir fait de façon continuelle. Leur intérêt est d’amener cette « diversité » à l’intérieur de laquelle ils se sentent mieux à l’aise.

Israel Zangill est l’auteur de la pièce de théâtre écrite en 1908, The Melting Pot, et pour qui la paix mondiale doit passer par l’abolition des frontières et des passeports. Il est cependant un ardent sioniste et adversaire des mariages des juifs à l’extérieur de la communauté.

La Statue de la liberté a été un don de la France aux États-Unis en l’honneur de ses traditions politiques (établies par la révolution de 1776 et la constitution qui en a découlée dont la teneur était fortement racialiste). Cependant, un sonnet écrit par une juive nommée Emma Lazarus, a été ajouté sur le socle du monument plusieurs décennies après sa construction pour le détourner de son sens originel et en faire un symbole en faveur de l’immigration : « huddled masses yearning to breath free/The wretched refuse of your teeming shore. »

Des juifs et des organisations juives tel the American Jewish Committee on travaillés de longue haleine pour transformer l’Amérique, suggérant, de façon tout à fait mensongère, que son esprit repose sur la diversité et l’accueil de gens de toutes origines, malgré que les lois d’immigration jusqu’alors avaient toujours été conçues pour y maintenir une population blanche.

En 1965 la loi sur l’immigration à été modifiée et cela a engendré une modification radicale de la composition raciale des États-Unis. C’était le but recherché par les juifs depuis le début. [La coïncidence (?) fait en sorte que c’est cette même année où les lois d’immigration au Canada ont été aussi modifiées. Notons aussi qu’à l’époque, il était nié que ces lois auraient un impact. Lysianne Gagnon (« journaliste » philosémite et enjuivée à l’extrême) par exemple écrivait dans les années 80 que les bigots et racistes opposés à la modification de ces lois, étaient tout à fait irrationnels, les nouveaux arrivants étaient si peu nombreux disait-elle qu’ils ne changeraient à peu près pas la composition du pays. Aujourd’hui nous la voyons célébrer la diversité.]

Professeur MacDonald soutient que les juifs ont été aussi défenseurs de l’immigration dans les autres pays de l’hémisphère nord, l’Angleterre, la France et le Canada par exemple. (Il évoque même le fameux commentaire de Jacques Parizeau à propos de l’argent et des ethnies). Citant un éditorial paru dans l’Australian Jewish Democrat : "The strengthening of multi-cultural or diverse Australia is also our most effective insurance policy against anti-Semitism. The day Australia has a Chinese Australian Governor General I would feel more confident of my freedom to live as a Jewish Australian."

“Le renforcement d’une Australie multiculturelle est aussi notre meilleur assurance contre l’anti-sémitisme. Le Jour où l’Australie aura un Gouverneur général Chinois, nous nous sentirons plus en confiance en tant que Juif Australien. »

[Pensons à notre Gouverneur général au Canada, Adrienne Clarkson, une demi-chinoise, mariée à Mr. John Saul, un juif.]


Les Juifs et la gauche

Les juifs ont toujours été associés aux mouvements de gauche, ce qui se comprend vu l’hostilité des populations à leur endroit après leur émancipation. Mais Professeur MacDonald leur prête aussi l’intention de rechercher par le triomphe des idées universalistes, la destruction des solidarités communautaires des gentils qui pourraient exclure les juifs. Et ceci, toujours en se préservant eux-même de cette dissolution des identités.

La Révolution bolchevik de 1917, mit fin à un état notoire pour son anti-sémitisme, donna des opportunités aux juifs en tant qu’individus et créa une société sans classes, interprétant tous les conflits en termes économiques plutôt qu’ethniques. L’Union Soviétique pouvait donc être une terre promise pour les juifs, dépourvue d’anti-sémitisme.

Ces juifs communistes étaient juifs avant tout, puisque lorsque tombèrent les gouvernements communistes d’Europe de l’Est, qu’ils dominaient largement, beaucoup émigrèrent en Israël. Il en alla de même lorsque Staline s’avéra un opposant à leur pouvoir. Ils devinrent les plus importants dissidents du système communiste.

Professeur MacDonald rappelle aussi le régime bolchevik de Bela Kun, dont 95% des dirigeants étaient juifs, qui régna sur la Hongrie de 1919 à 1921. [Il y eut entre 1000000 et 1500000 morts durant les 18 mois du régime. Avez-vous entendu parlé de crime contre l’humanité à ce sujet?]

Beaucoup de communistes, lorsqu’interrogés, révèlent leur attachement à l’identité juive, n’ayant par exemple, jamais envisagé de se marier à l’extérieur de la communauté juive.

Lorsque l’Union Soviétique en 1967 coupa ses relations diplomatiques avec Israël, c’était le comble. Un ancient militant du Students for a Democratic Society (SDS), déclara être juif avant tout : "If I must choose between the Jewish cause and a 'progressive' anti-Israel SDS, I shall choose the Jewish cause. If barricades are erected, I will fight as a Jew."

“Si je devais choisir entre la cause juive et l’SDS « progressiste », je choisirait la cause juive. Sur les barricades, je me battrait en tant que juif. »

Ainsi, ils eurent ensuite tendance à investirent les milieux plus conservateurs qui devinrent le mouvement néo-conservateur, dont les positions les plus inébranlables seront, un haut taux d’immigration et le support à Israël. Ils s’assurèrent aussi d’y exclure toute forme d’identification raciale blanche sous le vocable de « droite respectable ».


Les Objections

Peut-on comprendre les motivations d’un autre peuple comme le prétend Professeur MacDonald? Les juifs se considèrent eux-même « lumière des nations » « peuple choisi », un bienfait indispensable à l’Humanité. Leurs bienfaits tendent cependant à détruire purement et simplement les traditions et les loyautés à l’intérieurs de la société des gentils. Le font-ils délibérément ou cherchent-ils sincèrement à corriger ce qu’ils croient être mauvais?

Professeur MacDonald fait intervenir la notion d’auto-mystification (self deception). Ces juifs travaillent bel et bien pour l’intérêt de leur groupe racial, mais se sont convaincus du contraire et deviennent ainsi beaucoup plus persuasifs.

Les juifs ne sont pas toujours conscients à quel point leur judaïté est importante pour eux-mêmes. Pourtant ils ont un sens identitaire très aiguë. Le théologien Eugene Borowitz a déclaré : ,"most Jews claim to be equipped with an interpersonal friend-or-foe sensing device that enables them to detect the presence of another Jew, despite heavy camouflage."

“La plupart des juifs affirment être équipés d’un détecteur d’amis ou d’ennemis, qui leur permet de percevoir la présence d’un autre juif, quelque soit le camouflage. »

Les déclarations des juifs laissant croire au contraire à un faible niveau d’identification racial peuvent être trompeuses. Des publications juives admettent le grand pouvoir de leur communauté aux États-Unis, en des termes qui seraient jugés anti-sémites si ils étaient utilisés par des non-juifs. Comme le déclara Joseph Sobran : "they want to be Jews among themselves but resent being seen as Jews by Gentiles. They want to pursue their own distinct interests while pretending that they have no such interests..."

“ils veulent être juifs entre eux, mais s’opposent à ce que les gentils les voient comme juifs. Ils veulent poursuivre leur intérêts propres, tout en prétendant ne pas avoir de tels intérêts. »

Le succès de cette entreprise d’influencer les mouvements intellectuels, demandait à ce que leur caractère juif soit invisible. Les intellectuels non-juifs ont donc été incapable de voir ces mouvements comme des produits de la culture juives, destinés à poursuivre l’intérêt juif. Pour y arriver, souvent des non-juifs agissants comme homme de paille (token gentile) étaient recrutés pour réaliser ce camouflage. La chose était si flagrante au parti communiste américain, que beaucoup firent défection.

Comment expliquer cet extraordinaire succès malgré leur faible nombre. Professeur MacDonald fait jouer pour beaucoup le quotient intellectuel des juifs qui, à 115, les place sur un palier supérieur aux européens. Aussi, leur énergie et leur cohésion. L’ardeur d’une minorité bien structurée a supplanté une majorité désorganisée.

Les juifs ont été une condition nécessaire à l’émergence de ces mouvements intellectuels de gauche durant le vingtième siècle. Citant Walter Kerr, qui en 1968, écrivit : « "what has happened since World War II is that the American sensibility has become part Jewish, perhaps as much Jewish as it is anything else... The literate American mind has come in some measure to think Jewishly."

“Ce qui arriva depuis la seconde guerre mondiale, c’est que la sensibilité américaine devint en partie juive, peut-être essentiellement juive… L’esprit de l’Américain lettré est devenu juif ».

La théorie du Professeur MacDonald a certainement le mérite de faire la lumière sur le phénomène de dépossession de la race blanche, qui, il y a tout juste quelques décennies, était pleine de confiance en elle-même, fière de ses réalisations, sûre de sa capacité à dominer le monde. Aujourd’hui, elle est en déclin démographique, perpétuellement contrite, honteuse de son histoire et même incertaine d’avoir le droit de posséder des territoires qu’elle occupe depuis des siècles. Il est rare que des idées et des concepts soient renversés ainsi en si peu de temps, laissant suggérer que les causes de ce changement ne sont pas entièrement naturelles.

4 Comments:

At 1:39 p.m., Blogger marcel said...

hello
vous pouvez ecrire des biographies sur les personnages de jewisheritage.fr
inscrivez vous sur le forum
shalom

 
At 11:49 a.m., Blogger Adrien said...

C'est ça, allez vous abreuver à leurs sources de propagande.

 
At 3:09 a.m., Blogger ---- said...

Kevin B. MacDonald est un chercheur courageux. Ses thèses sont impossibles à réfuter.

Il faut cependant ajouter un facteur oublié par MacDonald: la psychopathie. Non seulement les Ashkénazes ont un Q.I supérieur à la moyenne, mais encore ils présentent un taux élevé de rejetons psychopathes! Cela dû au fait qu'ils pratiquent l'endogamie, car celle-ci produit plus de tares génétiques, tout en préservant le sang "pur" de la lignée.

En s'appuyant sur Andrew Lobaczewski Political Ponerology, Laura Knight-Jadzcyk a justement développé cette face de la recherche oubliée par MacDonald.

Pour des nouvelles sur l'empire atlanto-sioniste, surveillez ce blog:
desprotocolesau11septembre.blogspot.com

 
At 5:39 p.m., Blogger Goklayeh said...

Le seul dénominateur commun à l'immense majorité des juifs sur le plan biologico-ethnique, qui peut expliquer un particularisme constant à travers le temps et l'espace, c'est la circoncision au huitième jour après la naissance, moment de la première puberté, et qui, par conséquent, engendre un déséquilibre hormonal du système glandulaire dans l'organisme.

Trois chercheurs français savent, ou savaient :

- le Dr Jean Gautier (endocrino-psychologie)
http://biogassendi.ifrance.com/editobiofr16glandes.htm

- Robert Dommergue Polacco de Menasce
_ entretien en 4 parties : http://www.youtube.com/watch?v=MeW2TLE9PYo&feature=PlayList&p=9C566C6E97DD983F&index=0&playnext=1
_ un bouquin : http://www.archive.org/details/VeriteEtSynthese

- Jean Paul Turcaud
http://members.iimetro.com.au/~hubbca/hormones.htm

 

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