Pour que nous ayons un avenir

Réflexions sur qui nous sommes et notre avenir.

2009/02/22

En quoi la "Obama-Nation" est-elle une "obamination"



Il faut reconnaître à Joseph Facal le mérite d'avoir bien caractérisé la pâmoison aveugle de toute une aile médiatique devant le phénomène Barack Obama. Il écrit:

"Une journaliste québécoise très en vue nous expliquait, il y a peu, pourquoi elle ne se pouvait plus devant le candidat démocrate. Elle écrivait : «Je ne parle pas seulement de sa couleur, mais de sa culture, de son érudition, de son expérience de la misère humaine comme des différences culturelles et religieuses, de ses voyages en Europe et en Afrique, de son enfance à Hawaii, mais aussi à Jakarta, en Indonésie. À lui seul, Obama a vécu plus de vies que tous les présidents américains réunis.» Pour écrire une connerie aussi monumentale que la dernière phrase, il faut s’imaginer que la politique américaine commence avec, disons, Jimmy Carter." (lien)

Cette journaliste québécoise n'est pas la seule, à vrai dire c'est tout comme si tous s'étaient donnés le mot. Peut-être plus simplement, ne font-ils que suivre l'esprit de l'époque, dans une marche somnambulique sur l'air du politiquement correct. Depuis plusieurs décennies, depuis la défaite de l'Allemagne pourrait-on dire, la race blanche ne fait qu'encaisser reculs sur reculs. Rien ne va plus, nous devons être perpétuellement contrits, tous nos héros ont été l'objet de révisionnisme historique, tous les leaders de l'humanité allant du café au lait au plus foncé sont des demi-dieux. Il y a un double standard ahurissant dans tout cela, particulièrement dans la couverture de la dernière élection américaine, laissant vraiment croire qu'il y a quelque chose qui n'est pas naturel à l’œuvre.

L'occupant actuel de la Maison blanche est le sauveur qui nous lave du péché raciste, il est l'annonciateur d'un monde meilleur où l'homme blanc admet sa faute et se repent. La bénédiction du Révérend Dr. Lowery lors de l'inauguration du 20 janvier dernier l'exprima explicitement. Cette image créée par les médias et partagées donc par le grand publique, est complètement biaisée et inexacte. Tout chez Obama repose sur le racisme: son activisme, sa carrière et son élection bien-entendu. On le dit être le grand vecteur du changement alors qu'il n'est qu'un visage différent, celui d'une personnalité politique créée de toute pièce par le même pouvoir d'hier et d'aujourd'hui. C'est que la philosophie politique qui l'anime est voulue par ce pouvoir et cela n'augure rien de bon pour le peuple à qui appartient légitimement la nation américaine et au-delà les peuples qui ont fait l'Occident.



"I have a dream that my four little children will one day live in a nation where they will not be judged by the colour of their skin, but by the content of their character." Ces mots sont considérés être les plus admirables jamais prononcés, toujours selon l'esprit de notre époque, ce même esprit qui place Obama au pinacle. Pourtant, toute sa vie Obama fut porté par un courrant racialiste radical et c'est là sa vraie relation à sa demi-nègritude. Il fit partie de l'église noire "Trinity of the United Church of Christ" de Jeremiah Wright, le pasteur qui baptisa ses enfants et le maria à Michelle LaVaughn Robinson. En mars 2008, ABC couvrit une douzaine de sermons prononcés par lui. Le radical des propos força Obama à quitter l'église en mai après moult atermoiements. Wright offrit plusieurs entrevues dans ce contexte et parmi elles il recommanda chaudement l'ouvrage d'un "théologien" noir nommé James Hal Cone intitulé "Black Theology and Black power", une sorte "Mein Kampf" pour les Africains noirs. C'est l'ouvrage à la base même de l'église d'Obama. Quel sort les médias réserveraient-ils au candidat blanc, adversaire d'Obama, qui aurait appartenu à un mouvement dont l'ouvrage directeur contiendrait les mots "White power" dans son titre? Il serait déclaré coupable de la pire infamie, soi d'être raciste. Pourtant, c'est bien l'apôtre du "Black power" qui est adoré par ces médias.

De son côté, dans sa thèse pour l'obtention d'un baccalauréat à Princeton intitulé "Princeton-Educated Blacks and the Black Community", Michelle Obama-Robinson se consacra à l'étude des attitudes des noirs en relation à leur communauté. Elle y affirme que pour son compte, son engagement premier va a la communauté noire avant tout autre. Quel traitement les médias réserveraient-ils à un candidat blanc à la maison blanche, si lui-même, ou on épouse, avait affirmé représenter les intérêts des blancs par dessus tous les autres? Il serait qualifié de suprémaciste blanc, il serait médiatiquement assassiné et n'aurait aucune chance politiquement. Pourtant, c'est bien l'apologue de cet ethnocentrisme noir qui est adorée par ces médias et couronnée first lady des États-Unis (et non pas du Kenya!).

Les blancs ne sont pas sensés voter en fonction de la couleur de la peau, sauf s'il s'agit de voter pour Obama précisément parce qu'il est noir bien entendu. Mais voter pour son adversaire parce qu'il est blanc serait traité comme une abomination par les médias. Mais n'est-ce pas précisément se que fit 95% de l'électorat noir aux États-Unis? Nous pourrons dire que la fin du racisme dans ce pays passa par le vote le plus raciste de l'histoire! C'est pourtant le candidat élu par ce vote qui est objet d'un culte par la gauche libérale médiatique au nom de l'antiracisme.

Bill Clinton a été appelé "le premier président noir" par l'auteur Tony Morrisson et Hillary Clinton sera toujours décrite comme ayant un excellant dossier en matière de "droits civiques". Si les noirs votaient en reconnaissance de ceux qui ont le plus fait pour eux ils auraient voté pour la femme candidate lors des primaires. Nous savons qu'ils votèrent massivement pour son adversaire, car il était noir. Et cette sympathie sera renouvelée à l'élection générale et partagée, bien qu'avec moins de ferveur, par 78% des hispaniques. Comme il aura été profitable à McCain de supporter l'amnistie pour les illégaux en 2007!

Cette attitude racialiste du camp Obama est particulièrement visible dans les appuis de personnalités noires associées au parti républicain. Comme le fit remarquer Rhush Limbaugh, Collin Powell a été fait général quatre étoiles par Ronald Reagan et George Bush père, c'est un républicain, mais il déclara appuyer Barack Obama. Qu'est-ce qui dans son passé peut bien suggérer sa sympathie avec les politiques libérales et d'apparence pacifiste du candidat démocrate? Il est celui qui livra au monde le mensonge sur les armes de destruction massive pour justifier la guerre en Irak. Il affirma que la race n'est pas l'unique chose pour motiver son appui. C'est donc ça aussi. Dans les faits, il n'est que trop évident que la race est le facteur décisif sinon unique, comme dans le cas de Condoleza Rice qui fit aussi des remarques favorables à Obama.

Collin Powel a été un élément important de la stratégie néoconservatrice pour gagner aux Républicains le vote noir et montrer que ce parti n'est pas en contradiction avec l'harmonie raciale, faisant du racisme une idée anti-américaine. Sa trahison du parti à deux semaines du scrutin démontre la futilité de ces tentatives. McCain a essayé lui de gagner le vote noir et hispanique avec une politique de frontières ouvertes ou en se présentant à des rallies en l'honneur de Martin Luther King où il y reçut insultes et huées. Les non-blancs eux voient clairs, ils ont une notion définie d'eux-mêmes et voient leurs intérêts défendus. Mais l'image prépondérante dans les médias est le caractère absolument anti-raciste d'un vote pour Obama.


Obama est aussi présenté comme un agent du changement. Mais comment le serait-il alors que non seulement il est financé par exactement les mêmes gens que son adversaire ou son prédécesseur, mais il est purement et simplement une création de ceux-là même qui contrôlent la politique américaine depuis des décennies maintenant?

Le camp Obama peut affirmer avoir amassé 160 millions de dollars en une semaine et au final, d'avoir mené la campagne la mieux financée de l'histoire. Son contributeur principal aura été la firme financière Goldman Sachs, dirigée par Larry Blankfein, qui venait tout juste de flouer le peuple américain dans la débâcle boursière et le renflouement accordé par le gouvernement Bush à même l'argent des contribuables. Les 3/4 de ses plus grands bailleurs de fonds ont été des banquiers new-yorkais et cela n'était pas différent dans le camp McCain. Les électeurs donnent de l'argent aux banques, qui donnent de l'argent aux politiciens et aux médias, pour que les électeurs élisent les politiciens qu’eux, les financiers, veulent. Ce fut toujours ainsi en démocratie, alors Obama ne représente aucun changement. (lien)

Le trio hollywoodien Spielberg, Geffen et Kartzenberg des Studios Dreamworks, leva plus d'un million de dollars en une seule réception en appui à Obama. Cela reflète la sympathie médiatique généralisée envers le premier président noir, une éventualité élaborée de longue date par la capitale du cinéma au travers de nombreuses oeuvres. Les médias représentent le plus important levier pour influencer directement l'électabilité des politiciens. Là encore il n'y a rien de nouveau, mais le niveau d'adoration dont le démocrate victorieux fut l'objet est lui sans précédent.

Le concours de George Soros aura certainement été aussi déterminant dans la carrière d'Obama et ce dès sa campagne au Sénat en 2004. Ce financier tripoteur d'arrière scène orchestra la révolution orange en Ukraine et de nombreuses causes libérales menant invariablement à la liquidation des sociétés traditionnelles et de leur identité. Avec le concours de l'élite financière contactée par le spéculateur, l'argent n'a jamais cessé d'affluer dans les caisses électorales d'Obama.

Il sera peut-être plus "libéral" dans les apparences que ne l'aurait été un républicain, mais sur un point important, l'origine commune des fonds électoraux garantit qu'il n'y aura pas de changement.

L'article de Walt et Meirsheimer, "The Israel lobby", a révélé au monde académique ce que le commun des gens le moindrement informés savaient, à savoir que la politique extérieure américaine est contrôlée par le pouvoir juif en relation avec la protection des intérêts d'Israël et sur cette question Obama prononça toutes les bonnes paroles pour assurer au lobby juif la continuité de l'appui indéfectible des États-Unis. Dans un duo de danse chorégraphié, Soros, en 2007, dénonça le lobby pro-Israël AIPAC comme étant responsable de la soi-disant récente montée de l'anti-sémitisme aux États-Unis. Le futur premier président noir, pourtant financé par Soros, repoussa les propos de son bienfaiteur et se distança de lui à un forum politique d'AIPAC justement, y dénonçant le Hamas et promettant que les relations entre Israël et les États-Unis resteraient inchangées. Que de changement, considérant que le règne Bush fut le plus soumis à la politique pro-sioniste de toute l'histoire.

Le Chicago tribune fit paraître en décembre 2008 un article intitulé "Barack Obama: The first jewish president?", où nous était révélé comment la carrière du politicien avait été créée de toute pièce par quelques Juifs influents. C'est Abner Mikva, l'homme fort du parti Démocrate dans la région de Chicago, qui recycla la formule de Toni Morrison à propos de Clinton: "Si Clinton était notre premier président noir, alors Barack Obama est notre premier président juif." Mikva est l'un des premiers à avoir vu le potentiel d'Obama dont il dit qu'il a une "yiddishe neshuma", une âme juive. "Cela veut dire une personne sympathique et sensible qui vous comprend". En 1992 le futur président oeuvrait dans l'organisation ACORN, dont nous aurons l'occasion de reparler. Il y fit la connaissance de Bettylu Saltzman qui le présenta à David Axelrod, celui qui organisera sa campagne vers la présidence. Mais les juifs n'ont pas toujours été à l'aise avec Obama à cause de ses liens avec des penseurs palestiniens dont Rashid Khalidi. Pour retourner cette image défavorable, il fit cette visite à AIPAC en mars et se fit photographier avec des leaders israéliens. Il obtint 78% du vote juif tout en récoltant 70% du vote arabe à l'élection présidentielle.

Cet appui à Israël demeurera constant, même lorsque Gaza fut sous les bombes.

Et maintenant qu'il est président, sa ligne de conduite ne dérogera pas. Quand Israël lança son offensive, le nouvel élu était en vacance à Hawaï et n'émit qu'un "no comments" à propos de l'affaire. N'est-il pas présenté comme un messie de la paix par les médias? Voilà un autre mensonge. Comment peut-il l'être, alors que sa première nomination fut celle de Rahm Emmanuel, surnommé Rahmboo? Ayant double citoyenneté États-Unis-Israël, le "chief of staff" de la nouvelle administration fit partie de l'IDF ("Iraelis defense force") pendant la première Guerre du golf, c'est un ardent défenseur de la guerre en Irak et au-delà, d'une offensive contre l'Iran. Il veut que soit augmentées les troupes américaines de 100000 unités. Ceci au nom de la guerre contre le terrorisme sans doute. Or il se trouve que son père fut justement un terroriste de l'Irgun lors de la création de l'État juif dans les années 40.

Donc sur l'essentiel, Israël et non pas l'Amérique bien entendu, républicains ou démocrates c'était bonnet blanc ou blanc bonnet. Et bien que cette similitude s'étende aux questions plus domestiques comme la politique de frontières ouvertes ou de discrimination "positive" contre les blancs, l'élection d'Obama annonce malgré tout le triomphe d'une ligne de pensée qui n'augure rien de bon pour la classe moyenne blanche, les vrais bâtisseurs de l'Amérique.


Tout au long de sa vie, en dehors du "Black power", Obama fut associé à de nombreux groupes de gauche, communistes et même terroristes. Ces associations sont souvent anti-américaines.

Il fut activiste pour Acorn, l'Association of Community Organizers for Reform Now, destinée à organiser l'enregistrement des votants, d'une façon bien sélective cependant. Plus tard, quand il sera à la tête d'une fondation appelée Woods Fund de Chicago, il verra à ce que Acorn reçoive des dons substantiels, générosité renouvelée par sa campagne présidentielle qui lui versa 800000$. Acorn se déclara "Obama Organising Fellows" et dirigea un "Camp Obama". Mais Acorn est sous enquête du FBI pour avoir fait enregistrer des votes de façon frauduleuse. Leur but est de favoriser les candidats de gauche en se servant de tous les moyens, incluant l'intimidation au endroit de scrutin pour empêcher les votes légitimes au profit de votes illégitimes. Sa devise pourrait être vote tôt, souvent et partout.

Il y a les Weather man comme Bill Ayers et sa femme Bernadine Dohrm, avec qui Obama entretint des liens d'amitiés. Ce groupe communiste se rendit responsable de la pause de bombes de la fin des années soixante jusqu'au cours des années soixante dix. Le couple tiendra plus tard des réunions pour présenter Barack Obama lors de sa première élection au Sénat de l'Illinois. Ayers et Obama seront co-directeurs au Woods Fund. Ayers est un terroriste avoué et non repenti.

Ces organisations veulent la subversion de l'ordre traditionnel des sociétés érigées par les peuples d'origine européenne, ces sociétés recelant la richesse et le savoir faire pour créer la richesse. Ainsi en ira certainement sa présidence.

Obama est du côté de toutes politiques globalisantes visant la destruction des souverainetés nationales et de leurs identités. Il supporte la "U.N. Law of the Sea Treaty" (LOST) qui réduirait la viabilité des nations non-conformes aux desideratum de l'élite mondialiste; le "Nuclear Test Ban Treaty" qui laisserait les Américains sans défense; le "Global Warming treaty" pour remplacer Kyoto et qui réduirait le niveau de vie des américains; la convention "Elimination of All forms of discrimination against Women", qui mènera à l'élimination des relations entre les sexes dans leur forme traditionnelle; le "Treaty on the Rights of the Child" signé en 1995 par Clinton mais jamais ratifié par le Sénat, qui ferait en sorte que les enfants soient élevés globalement. Et bien-sûre il y a le Nafta: "North American Free Trade Agreement" qui fait de tous les Nord-américains des concitoyens pour ainsi dire.

Sur le plan des politiques sociales, dans une entrevue de radio en 2001, Barack Obama révèle sa philosophie étatique très interventionniste. Il y distingue deux types de droits. Ceux premièrement affirmés dans le "Bill of rights" serraient des droits négatifs restreignant l'État, lui disant ce qu'il n'a pas le droit de faire. Il serait temps de développer un second modèle de droits, dits positifs ceux-là; ce que l'État DOIT faire en notre faveur. Cela veut dire intervenir pour établir l'égalité par le biais de la redistribution des richesses. Il explique que le mouvement des droits civiles ne réclamait que l'abolition de "l'oppression" sans rien demander pour établir la "justice". La court Warren est l'instance judiciaire qui procéda à la fin de la ségrégation dans les années soixante et soixante dix. Obama note qu'elle n'était pas radicale, qu'elle ne fit rien pour redistribuer la richesse. Plutôt que la voie judiciaire, il faut passer par la voie législative dit-il. C'est certainement ce qu'il va faire.



Faire voter des illégaux frauduleusement au détriment du peuple fondateur du pays, prendre les ressources à ceux qui la créent pour la donner à ceux qui ne surent pas la créer même dans les pays d'où ils viennent, voilà qui ressemble à une dépossession pure et simple. Et cela avec la complicité même des médias. Obama est pétri d'esprit racial et c'est lui que les médias allergiques à toute manifestation d'esprit racial chez les blancs ont couronné. Il fut unanimement plébiscité par le votant noir pendant que le peuple blanc continu de se voir interdit toute forme de solidarité du même ordre. Il est un héros charismatique pour la jeunesse, mais a été financé par les pires requins de la finance et il ne pourra qu'appuyer sous une forme ou sous une autre, les guerres que jusque là les "neo-cons" ont fomentées pour servir les intérêts d'Israël.

Le pouvoir financier derrière le théâtre burlesque d'une élection américaine, derrière l'écran médiatique, veut ce New World Order et il fit élire son homme. Le monde de demain n'aura plus rien de celui familier où le fruit civilisationnel d'un peuple enraciné dans sa patrie historique lui revient de droit. Au nom de concepts abstraits et irrésistiblement encrés dans la conscience des masses par le matraquage médiatique, un nouvel ordre mondial va s'ériger. L'homme blanc y tient le rôle de bouc émissaire et il y sera donné en pâture à la foule venue du Tiers-Monde pour justement profiter des avantages offerts par une société pour laquelle il ne contribuèrent en rien.

Montrant combien les médias firent prenve de favoritisme, il s'avère que des doutes fondés peuvent être soulevés sur la citoyenneté même d'Obama qui prétend être né dans l'état d'Hawaï mais sans daigner fournir de certificat de naissance valable. Que la chose soit vraie ou nom, elle aurait mérité d'être traitée beaucoup plus largement. Si la couverture de la dernière élection à la présidence américaine est prise pour reflet de ce qui nous attend bientôt, les images les plus ternes de ces romans d'anticipation que sont « 1984 » ou "Animal farm" ne sont pas encore assez terribles, ni l'absurdité d'une série britannique excentrique comme « Le Prisonnier », avec Patrick McGowan, encore assez poussée.

Allons-nous enfin prendre conscience?

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