Pour que nous ayons un avenir

Réflexions sur qui nous sommes et notre avenir.

2005/12/29

Pierre Boulle: un auteur racialiste.



Poursuivons…

Par la manipulation des courrants de pensée au 20ème siècle, l’homme européen s’est vu imposer une moralité contre-nature qui le pousse nécessairement à sa perte. Bien des gens perspicaces ont vus venir la chose et compris le péril démographique qui emportera la race blanche occidentale.

Pierre Boulle, par exemple, exprime de manière particulièrement originale, ces préoccupations de nature racialiste.


Cette lecture s’inspire d’un essai paru sur ce site web :http://www.nationalvanguard.org/story.php?id=2461¸

Pierre Boulle est né en France en 1912. Il vécut en Malaisie, opérant une plantation de caoutchouc. Durant la Seconde Guerre Mondiale, il combattit en Indochine, à Malaya et Singapore. Il possède donc une bonne connaissance du monde oriental. Deux de ses romans, Le Pont de la rivière Kwaï et La Planète des singes, furent adaptés au cinéma avec grand succès. Je le recommande fortement, capable de nouer une intrigue hautement originale, il incite à réfléchir sur le monde contemporain. De plus je lui prête une compatibilité avec ma façon de voir les relations entre les différents groupes humains.

Pierre Boulle s’interroge sur l’avenir de l’Occident, sur la validité de ses valeurs et semble croire en sa vulnérabilité face aux autres races, orientales en particulier.

Je vais me trouver à révéler beaucoup de l’intrigue et des dénouements de ses romans (exceptées les chutes finales qui sont souvent très recherchées et spectaculaires), vous êtes prévenus.


Le Pont de la rivière Kwaï

Durant la Seconde Guerre mondiale, des soldats britanniques sont faits prisonniers par les Japonais et menés à un emplacement sur la rivière Kwaï où doit être érigé un pont pour y faire passer une voie ferrée. Le Sergent Nicholson confronte les manières de faire nippones, autant du point de vue des techniques de construction, que sur le traitement des prisonniers. Se faisant, il se trouvera à générer un paradoxe qui médusera les observateurs britanniques ayant reçu l’ordre de faire sauter l’ouvrage.

Exposant le décalage entre l’Orient et l’Occident, Boulle décrit la méthode primitive, purement empirique des japonais, qui consiste à créer un assemblage de pièces de bois sans plan préétabli, solidifié au grés des observations. L’auteur fait remarquer que l’attitude occidentale de préparer soigneusement une réalisation, en maîtrisant les lois de la matière de la façon la plus approfondie, maîtrise qui sera traduite par un plan aussi précis que possible, n’est pas la moindre de ses réalisations.

Par ailleurs, avant que les officiers britanniques ne soient rétablis dans leur supériorité hiérarchique par rapport à leurs hommes, le travail n’avançait tout simplement pas, continuellement entravé par le sabotage généralisé.

À la suite de maintes négociations, Nicholson réussit donc à apporter au chantier, ce double avantage. Une main-d’œuvre prise en mains, concrétisant un plan parfaitement précis reposant sur la science. Le pont sera complété à temps et montrera des qualités exceptionnelles pour une réalisation de ce genre en pleine jungle. Ce faisant, il aura aidé l’ennemi d’une façon sans commune mesure et ce sans même s’en rendre compte, apparemment. Contrairement à la version cinématographique édulcorée, Nicholson collaborera jusqu’à la mort avec la nation qui torture ses hommes.

Il y a quelque chose qui cloche dans cette situation et cela n’échappera pas au regard critique de Clipton, un médecin britannique prisonnier lui-aussi, chargé du soin des soldats. Il oscille entre l’admiration et l’irritation la plus aiguë. L’attitude de Nicholson l’exaspère, mais la droiture de ses principes à la fois l’impressionne. Il ne réussira pas à exprimer la synthèse complète, cette tâche étant laissée aux lecteurs.

Le roman souligne abondamment un clivage racial. Il n’y a pas d’exemple d’amitié britannico-nipponne venant transcender la haine comme il serait de mise dans toute production hollywoodienne à la sauce antiraciste obligée. Au contraire, les camps vivent un antagonisme qui ne se dément pas.

De la bouche même de Nicholson : « L’essentiel (…) c’est que les garçons sentent qu’ils sont toujours commandés par nous, et non par ces singes. Tant qu’ils seront entretenus dans cette idée, ils seront des soldats et non pas des esclaves ».

Alors que Saïto menace les officiers à la mitrailleuse, un soldat s’adresse à Clipton : « Doc, ils ne vont pas!… Ce n’est pas possible! Ce singe jaune n’osera pas?… Et le vieux qui s’entête! »
Lorsqu’un britannique en mission de reconnaissance pour la destruction du pont revint raconter ce qu’il a vu, il dira : « Si vous aviez vu l’allure de ces sentinelles, sir ! Des singes déguisés. Une façon de traîner les pieds et de se dandiner qui n’a rien d’humain… »

Saïto fera un discours où il répétera à satiété, combien il hait les Britanniques. Les Japonais sont eux persuadés de leur ascendance divine. Lui prêtant une gestuelle des plus agressives, Boulle commente ainsi : « La brutalité de ses expressions et de ses gestes désordonnés devait cependant être attribuée à un reste de sauvagerie primitive. »

Le roman met indéniablement en scène la concurrence de deux civilisations définies sur une base raciale.

À propos de Nicholson : « Le résultat d’ensemble en arrivait à affecter seul son esprit, symbolisant et condensant en une structure vivante les efforts acharnés et les innombrables expériences capitalisées au cours des siècles par une race qui s’élève peu à peu jusqu’à la civilisation. »

De la bouche de Nicholson : « Vous savez, Reeves, je compte vraiment sur vous. Vous êtes ici le seul homme techniquement qualifié, et je vous laisserai une très grande initiative. Il s’agit de démontrer notre supériorité à ces barbares. »

Et aussi : « Il était dans leur nature occidentale de fournir loyalement un effort considérable en échange du pain quotidien, et leur sang anglo-saxon les poussait à orienter cet effort vers le constructif et la stable solidité. »

Lorsque Nicholson s’engage sur le pont fini, l’auteur d’écrit ainsi son état d’âme : « En paix avec sa conscience, avec l’Univers et avec son Dieu, les yeux plus clairs que le ciel des tropiques après un orage, goûtant par tous les pores de sa peau rouge la satisfaction du repos bien gagné que s’accorde le bon artisan après un travail difficile, fier d’avoir surmonté les obstacles à force de courage et de persévérance, orgueilleux de l’œuvre accomplie par lui-même et par ses soldats dans ce coin de Thaïlande qui lui semble maintenant presque annexé, le cœur léger à la pensée d’avoir été digne de ses ancêtres et d’avoir ajouté un épisode peu commun aux légendes occidentales des bâtisseurs d’empires, fermement convaincu que personne n’aurait pu faire beaucoup mieux que lui, retranché dans sa certitude de la supériorité dans tous les domaines des hommes de sa race, heureux d’en avoir fait en six mois une éclatante démonstration, gonflé de cette joie qui paie toutes les peines du chef lorsque le résultat triomphant se dresse à portée de la main, savourant à petites gorgées le vin de la victoire, pénétré de la qualité de l’ouvrage, désireux de mesurer une dernière fois, seul, avant l’apothéose, toutes les perfections accumulées par le labeur et l’intelligence, et aussi de passer une ultime inspection, le colonel Nicholson s’avançait à pas majestueux sur le pont de la rivière Kwaï ».

Quel sens tiré de tout cela ?

Que l’Occident possède en propre, des facultés qui lui sont exclusives. Ce n’est pas seulement une aide ponctuelle que Nicholson amena à l’Orient, il contribua à lui livrer un facteur central de la domination occidentale, qui sera mis à profit comme nous le savons par ces tigres économiques, sans qu’ils n’eurent à faire l’effort de le découvrir eux-mêmes.

Après son triomphe sur Saïto et pendant sa visite du chantier où maintes déficiences étaient enregistrées, Nicholson exprima ses commentaires : « Ces gens-là, je veux dire les Japonais, sont tout juste sortis de l’état de sauvagerie, et trop vite. Ils ont essayé de copier nos méthodes, mais ne les ont pas assimilées. Enlevez-leur les modèles et les voilà perdus. Ici, dans cette vallée, ils sont incapables de réussir dans une entreprise qui demande un peu d’intelligence. »
Clipton semble critique envers cet occident, résolument de son côté, mais pas du tout rassuré sur son avenir jusqu’à ce que : « Quand à Clipton, il fut définitivement convaincu de sa naïveté première et mesura humblement la dérision de l’attitude sarcastique par laquelle il avait accueilli l’application des méthodes industrielles modernes à l’édification du pont de la rivière Kwaï.

Il fit en lui-même amende honorable, avec son habituel souci d’objectivité, mêlé à un certain remords de s’être montré aussi peu perspicace. Il reconnut que les pratiques du monde occidental avaient abouti, en cette occasion, à d’incontestables résultats. Il généralisa à partir de cette constatation, et en arriva à conclure que ces pratiques doivent « toujours » se montrer efficaces et toujours amener à des « résultats ». »

C’est une conversion à contre-cœur et momentanée à l’acceptation de valeurs transcendantes et universelles. Car quelque chose cloche encore. Cette contemplation des valeurs universelles perd l’Occident. Cet idiot de Nicholson croit qu’il vient conquérir la Thaïlande alors qu’il vient d’aider l’ennemi dans son effort de guerre. De plus, il contribuera à l’éducation à la science occidentale, d’une race qui gardera pour elle, les avantages qui lui sont propres : la capacité d’imitation, le conformisme social et l’abnégation asiatique.

Nicholson me fait penser à la sottise d’un Roméo Dalaire qui maudit sa nation de ne pas s’être portée au secours d’Africains qui s’entretuaient entre frère de race. Et encore, nos élites actuelles ne vivent même pas dans cette confusion dont fait preuve Nicholson chez qui subsiste encore un fort penchant racialiste, la fierté anglo-saxonne.

Par ailleurs, ce roman contredit le mythe que seul la race blanche connaît le racisme et que le mal n’a toujours émané que du blanc envers le non blanc. Les prisonniers britanniques exécutent leur travaux vêtus seulement d’un triangle de tissus fixé autour de la taille ! Ils subissent, eux des Blancs, la flagellation et la brutalité aux mains des geôliers japonais.

Elle est généreuse la race blanche et elle se laisse sucer le sang par mille et une races qui le sont beaucoup moins !


Les Jeux de l’esprit

Des hommes de science, au cours d’une réunion amicale, se révoltent devant l’inanité des dirigeants politiques exposée à la télévision qu’ils regardent. Sur la conviction que « c’est intolérable ! » et que « cela ne peut plus durer » ils décident d’agir et de lancer une campagne pour convaincre l’opinion publique de ce constat et pour proposer leur solution, un gouvernement scientifique.

Tous les problèmes de gestion des sociétés humaines pouvant être résolus par la science, il suffirait de confier aux scientifiques la direction d’un gouvernement mondial, pour amener la société parfaite. Un comité de prix nobels est donc créé pour veiller à l’organisation d’un concours pour déterminer le chef de ce gouvernement.

À son issue, le gouvernement fut formé et tous les problèmes qui accablent notre monde actuel furent effectivement réglés comme prévu. Mais cela aura été la tâche la plus simple du nouveau pouvoir, car un phénomène aussi étrange qu’imprévu va bientôt se manifester. Une vague de suicides alarmante va se développer et même la famille du président mondial va être touchée. Il sera expliqué que certainement, dans un monde privé de défi, l’absence de buts à atteindre pour l’homme commun mène à l’ennui puis à la neurasthénie.

On se résolut donc à organiser des jeux pour divertir les masses. Des jeux meurtriers, de plus en plus barbares et extravagants. Le tout se termine dans la farce, même les plus rationalistes à l’extrême y perdent complètement la tête.
C’est le moins racialiste peut-être de ses romans. Mais il n’en comporte pas moins de nombreux aspects.

Premièrement, soulignons son réalisme racial. Ils sont treize à atteindre la finale du concours pour la présidence. Les quatre sur lesquels il y a insistance sont Fawell, un américain, Yranne, un français, Zarratoff, un russe et Betty Han, une chinoise. Mais, où sont les Africains ? Pas d’Africains ! C’est ce dont on pourrait s’attendre dans la réalité. Nous savons très bien que dans une production hollywoodienne contemporaine, parmi les finalistes d’un concours en vu de former un gouvernement mondial, il y aurait nécessairement au moins un noir, brillant mathématicien, cela va s’en dire.

Le seul noir du roman opère une machine avec zèle dans un laboratoire. Il prend réalité dans un récit de Fawell qui veut montrer les limitations des scientifiques dans un univers matériel dépendant du support de la société industrielle. Voici sa description : « Joë était notre machiniste. J’ai oublié son nom mais je le revois encore : un négro placide, sans culture, mais très consciencieux dans son travail. C’était la première fois qu’il commettait une négligence. » Joë avait oublié de fermer un appareil et aucuns des scientifiques ne savaient comment l’arrêter, même le plus grand des nobels. Fawell termine son récit par cette remarque : « Je n’ais pas besoin de vous répéter les injures dont nous accablâmes le malheureux… »
Pas exactement la marque de la plus grande estime quand même !


Les Oreilles de jungle

Le roman se déroule au Vietnam pendant la fameuse guerre, raconté surtout du point de vue des Vietnamiens du Nord. Pour approvisionner leur armée, des camions devaient emprunter le Chemin d’Ho-Chi-Minh au travers la foret. Les Américains avaient la maîtrise totale des airs et ces convois devaient prendre toutes les précautions possibles pour être indétectables. Malgré une exécution quasi parfaite, les avions bombardaient les convois avec une précision incompréhensible. Les Jarai, peuple montagnard primitifs de la foret, purent identifier une anomalie dans la végétation, un engin artificiel camouflé en plante tropicale. Les Vietnamiens comprirent que c’étaient des récepteurs sonores permettant à l’ennemi d’identifier par le bruit le passage de convois. Ces « sensors » qu’ils appelèrent « oreilles de jungle », permettaient à un ordinateur de révéler après analyse, la localisation exacte des camions. Des avions entraient ensuite en action pour bombarder cette localisation.

La nation assiégée eut recours à des magnétophones émettant le bruit lancinant de grillons au pied des capteurs pour couvrir le passage des convois et à d’autres endroits, le bruit de convois fictifs, dirigeant les bombardements dans des régions choisies parce que giboyantes, gagnant ainsi la collaboration des Jarai qui récoltaient les animaux morts suite aux bombardements.
Bientôt, les récoltes allaient être décevantes, car l’utilisation du Napalm rendait impossible la consommation des viandes. Les bêtes étaient calcinées. Ami, la doyenne des Jarai, proposa de diriger les bombardements, non plus vers des zones de chasse, mais vers des zones cultivables le long de la piste. La cendre des forêts brûlées était idéale comme engrais. Les jarais pouvaient cultiver le riz pour eux-mêmes, les Vietnamiens pour leur approvisionnement. Les Américains finirent par se rendre compte du stratagème et développèrent l’agent pourpre, bleu, ou rouge, des défoliants par lesquels non seulement les feuilles dans les arbres mouraient, mais aussi le sol lui même, qui devenait alors incultivable.

Comment transformer le mal en bien, cette fois-ci encore ?

Les communistes vietnamiens voulaient développer une nouvelle société modernisée. L’un des éléments les plus importants de ce grand plan, portait sur les communications. Dans la construction d’une route, la destruction de la jungle représente le coût le plus élevé. Ainsi, furent dirigés l’utilisation du défoliant le long du trajet prévu de la future autoroute. De vastes régions de jungle furent anéanties pour des décennies, le long de cette voie projetée, économisant des sommes considérables au régime.

Malheureusement, la biological warfare fut suspendue à cause de pressions écologistes en Occident. Les Vietnamiens en furent éplorés. Mais ils songèrent à une ultime tactique qui consacra les américains comme les plus parfaits dindons de la farce qui soit.

Les camps sont mis encore ici en opposition très vive. Non seulement sont-ils en guerre, mais leur différences de caractères sont mises en évidence.

L’opposition entre Jarai et Vietnamiens pour commencer. Ces derniers avaient l’habitude de mépriser les montagnards parce que plus primitifs. Les nécessités de la guerre les ont rapprochées. Ce passage relatant la rencontre entre les deux groupes démontre à la fois l’existence d’un caractère typiquement asiatique et les récriminations des Jarai :
« Là encore, l’instinct montagnard lui faisait adopter les façons des Asiatiques les plus raffinés, qui se considéreraient comme des rustres s’ils allaient directement au point essentiel, sans ponctuer la conversation de digressions, le plus souvent à caractère laudatif pour l’interlocuteur. »

Les prières jarai disaient :
« O Maître, roi du feu. Nous qui sommes ici, sommes entravés, écrasés par les Vietnamiens et par les Cambodgiens… »
« …Nous qui sommes ici ne pouvons plus bêcher, cultiver les champs, planter le paddy, détruire les herbes. Nous qui sommes ici avons eu beaucoup de morts, beaucoup de cadavres, du fait des combats. Nous qui sommes ici comptons sur votre aide et nous prosternons… » (Parlant ici des Vietnamiens contre les Américains.)
« Faites mourir nos ennemis, ceux qui sont méchants pour notre groupe, faites-les mourir à cet instant. »

Dans une fable antiraciste, le message serait au contraire que nous sommes tous semblables et que nous aspirons tous après-tout à la paix.

Les Vietnamiens se distinguent par leur subtilité, leur opiniâtreté et leur adresse à déjouer de façon presque trop simple, les assauts apparemment les plus dévastateurs. Ils raisonnent au-delà des évidences platoniques et savent mobiliser leurs masses comme s’il s’agissait d’un seul homme. Le personnage vietnamien principal est Mme Ngha, qui ne s’accorde pas le moindre repos dans sa lutte contre l’ennemi. Ses moments de détente consistent à lire des ouvrages sans liens directs avec la guerre, mais instructifs sur la société occidentale.

« Celui qui accaparait toute son attention pendant ce voyage était un essai volumineux traitant de l’esclavage de la femme, en particulier de la femme américaine, un sujet qui préoccupait depuis peu l’élite intellectuelle du monde occidental. Van, n’ayant rien à faire qu’à observer sa patronne, vit à plusieurs reprises un étrange sourire s’épanouir sur ses lèvres ».

Il s’agissait fort probablement de « The Female mystique » de l’auteur juive Betty Friedam.
La technologie occidentale, elle, s’avère extraordinaire et absolue, mais est appliquée sans la moindre subtilité, que trop prévisible.

L’Occidental est littéralement désigné comme un ennemi naïf. Mme Ngna, communique avec une antenne, au sein même d’un poste américain, situé en Thaïlande. Une jeune fille nommée Thu. Elle conquit la plus béate confiance du général Bishop, ayant menti sur la mort de ses parents attribuée aux Vietcongs, alors qu’ils ont été broyés par les bombardements américains. Que ce soit le respect paternel de Bishop, l’indifférence ou la supériorité entreprenante des officiers au bureau d’espionnage où elle collabore, les Américains se font jouer sur toute la ligne.
Il n’en demeure pas moins qu’encore aujourd’hui, le Vietnam est un pays misérable.


L’Épreuve des hommes blancs

Se déroule pendant la seconde guerre mondiale où les Japonais mènent la lutte contre l’Occident colonialiste partout dans le sud est asiatique. Sur un îlot de l’archipel malais, des exploitants d’une plantation d’hévéas, d’origine européenne, tentent d’échapper à la mort certaine, mais les indigènes refusent toute collaboration craignant les représailles japonaises.

Seule une petite fille de 9 ans échappe au massacre et se réfugie dans un petit village de pêche malais. La famille de son chef l’adopte et elle sera élevée comme une malaise. Après la chute du Japon, les Blancs reprendront possession du territoire et apprenant l’existence de Marie-Helen, firent ce qu’ils crûrent bon de faire, l’arracher à ce monde primitif pour la redonner à l’Occident et à sa mère. Les conséquences seront cependant funestes, lorsque l’épreuve des hommes blancs la détruira.

Ce roman contredit lui aussi le mythe que seul la race blanche connaît le racisme et que le mal n’a toujours émané que du Blanc envers le non blanc.

Les Japonais massacrent systématiquement les Blancs et spontanément, ils considèrent Marie-Helen comme l’une des leurs. Puis les nationalistes malais qui lutteront contre le retour des Blancs, viendront aussi pour prendre la jeune fille, puisqu’elle est blanche et donc appartient à l’ennemi. Le concept de race n’est d’aucune manière une invention de la civilisation occidentale colonialiste.

Sur les relations raciales dans l’île de Sinang : « Les deux groupements humains qui composaient la population du Sinang, n’entretenaient presque aucune relation. Parfois un boy descendait au kampong pour acheter du poisson ou des fruits; toujours le même : un Malais de Java, qui portait une croix chrétienne sur sa poitrine en témoignage de sa conversion. Les pêcheurs se méfiaient de lui. »

Les coolies sont toujours soit des chinois ou des javanais.

Marie-Helen, bien que parfaitement adaptée à la vie dans le kampong, n’en demeure pas moins blanche, par sa grâce particulière, sa beauté et son intelligence. Personne ne peut soutenir son regard aux yeux bleux et elle acquit un statut d’être supérieur. Il faut dire qu’étant la fille d’un chef de plantation, elle possède par sa lignée plutôt que seulement par sa race, ces traits de distinction.

Devant l’union de la jeune fille blanche avec un pêcheur malais, l’opinion que ce genre d’union ne donne jamais de bons résultats reviendra comme un leitmotiv.
Mais quel est cette épreuve des hommes blancs qui détruisit Marie-Helen ?
Eh bien, il s’agit de ce que les Français appellent le bachot, l’admission aux études supérieures.
Outch ! Ça ça fait mal !

Vous attendiez autre chose, n’est-ce pas ? Un baptême traumatisant, un séjour dans un couvent dominé par une mère supérieure sadique, ou un rituel païen culminant avec la mise à mort d’un enfant de couleur, pour bien réintégrer Marie-Helen dans le monde de l’ignÔble homme blanc, auraient beaucoup mieux satisfait le lecteur universitaire de gauche que vous êtes n’est-ce pas ?
Eh non ! Il s’agit plutôt de vos très chères études supérieures avec leurs sacro-saints diplômes qui sont ici mises en cause.

Nous cherchons toujours à situer l’auteur dans ses propres romans pour y découvrir son point de vue. Naturellement, il fera sienne la plus grande sagesse dont il sera capable et l’exprimera quelque part dans l’oeuve. Nous retrouvons souvent chez Pierre Boulle l’homme de science aux deux-tiers de sa vie, plutôt athée, morose et désabusé, ayant eut foie en la civilisation occidentale scientifique, mais critique sur sa valeur réelle vers la fin de sa vie. Nous avons fait la connaissance de Clipton précédemment, ici c’est le personnage de Moivre qui semble exprimer le sens ultime du roman. Le leitmotiv sur l’indésirabilité du mélange des races est de lui. Anciennement ethnologue, il s’intéressa toujours à l’évolution humaine, mais en devint de plus en plus détaché sur le plan de l’intérêt intellectuel. Il vit isolé et se consacre à l’observation du ciel nocturne grâce à un observatoire personnel.

Avant de retrouver Marie-Helen chez lui loin de la ville, il assistât à Paris aux émeutes étudiantes marquant régulièrement la période printanière, et ce dès les années cinquante. Des voitures renversées, incendiées, des femmes simples citoyennes, aux vêtements arrachés le visage ensanglanté. Ces scènes le dégouttent. Mais il trouve le moyen de leur trouver des excuses, le bachot étant une épreuve absurde de bourrage de crâne.

Cette épreuve de l’homme blanc fait la contre-partie d’une autre épreuve, celle des Malais.
Lorsque les nationalistes viennent pour prendre Marie-Helen, celle-ci veut les convaincre qu’elle n’est pas blanche mais aussi malaise que tous les autres. On lui fait donc subir une épreuve, où un vieux futé l’interroge longuement sur les mœurs indigènes. Elle commença par montrer ses cheveux dénoués, puisqu’il doit en être ainsi pour que les récoltes de riz soient bonnes, récoltes effectuées, ajoute-t-elle, avec une petit couteau et non une facile, pour ne pas effrayer l’âme du riz. Elle répond à toute la série de questions précises, bien au-delà du nécessaire.

Ce n’est cependant nullement la réussite de ce test qui sauva Marie-Helen, mais plutôt sa promesse de se marier avec Moktuy le fils de son protecteur.

Le parallèle avec le bachot était évident. Son importance de vie ou de mort en regard du statut social, son caractère exhaustif et pointilleux. Mais pourquoi l’épreuve des Malais est-elle aimée et respectée par Marie-Helen, mais celle de l’homme blanc, le bachot, la révulse au point de la rendre malade ?

Ne s’agit-il pas du fait que l’épreuve malaise est en symbiose avec un mode de vie naturel, en connexion avec les besoins biologiques d’un groupe ethno-raciale et de sa société organique enracinée, contrairement au bachot ?

Boulle exprime encore sont scepticisme sur la sagesse occidentale. Quelque chose ronge cette civilisation qui a hissé la race blanche au sommet du genre humain, mais quoi ?
À propos des manifestations étudiantes : « Il en arriva à reconnaître que s’il était aujourd’hui contraint , lui, Moivre, de vivre des années dans cette atmosphère, il se sentirait excusable de beaucoup d’excès. Peut-être n’aurait-il pas approché une allumette enflammée d’un carburateur, mais rien ne prouvait non plus qu’il n’eût utilisé un de ces explosifs modernes qui transforment une ville en poussière et qui envoient cette poussière même dans les étoiles.
Après une méditation plus poussée, il conclut toutefois que cela était infiniment peu probable : Pour agir ainsi, il lui aurait fallu retrouver un instant la fougue de l’adolescence, et la combiner avec la sagesse de son âge. »


La Planête des singes

À tout seigneurs, tout honneur. En terminant, la fameuse histoire de la planête des singes.
Pour ceux qui se révolte contre la « réécriture de l’histoire », l’histoire de la Planète des singes a fait l’objet d’une révision totale de son message, par le film à succès créé en 1967 avec Charlton Heston. Le message y était bien-sûre devenu pacifiste et humaniste. Ce n’était pas le cas je crois de l’œuvre originale.

Le héros du roman est Ulysse Mérou. Son aventure commence lorsqu’il joignit une expédition à caractère privée, conçue par un savant, le professeur Antelle, en marge des grandes entreprises spatiales officielles. Il s’agit d’atteindre Soror, un satellite de l’étoile géante Bételgeuse.

Le professeur Antelle, Arthur Levain et Ulysse Mérou réussirent l’expédition allé. Survolant la planète, ils virent une géographie similaire mais non semblable à la terre. Il y avait des continents, des océans, de la végétation, mais le découpage des rives entre eaux et terres fermes ne formait aucuns dessins familiers aux terriens, la forme des éléments géographiques était différente. Plus proche, ils reconnurent la trame géométrique de villes importantes vues à vol d’oiseau. Sur la terre ferme, ils respirèrent une atmosphère semblable à celle de la terre. Ils marchèrent et trouvèrent un étant pour s’y baigner.

Approcha alors une créature féminine d’une beauté stupéfiante, mais aux manières dépourvues d’humanité. Le cerveau d’une bête dans un corps tout ce qu’il y a de plus humain, appartenant à la race blanche, souligne l’auteur. Tout inspire l’admiration la plus totale, sauf ses yeux, vide et dépourvu de toute expression. Ce comportement inspira ces réflexions à Mérou et Arthur Levain : « -Une sauvagesse, dis-je, appartenant à quelque race attardée comme on en trouve en Nouvelle-Guinée ou dans nos forêts d’Afrique? Arthur Levain me demanda presque avec violence si j’avais jamais remarqué une allure et une finesse de formes pareilles parmi les peuplades primitives. Il avait cent fois raison et je ne sus que répondre.»

Les caractéristiques physiques de l’homme blanc sont clairement établies comme le signe d’une évolution plus avancée sur la race négroïde. Les trois hommes entrèrent en contact avec les autres membres du groupe auquel Nova (tel que Mérou la baptisa) appartenait. Des individus comme elle, magnifiques et en santé, mais incapable de langage ni même d’expression faciale intelligente.

La journée suivant leur capture par ces gens, les trois hommes découvrirent la situation ahurissante prévalent sur Soror. Ce groupe d’individus à forme humaine fut l’objet d’une véritable chasse, poursuivi, massacré ou capturé par des êtres qui eux, présentaient une forme simiesque. Des singes habillés, se tenant droit, utilisant des véhicules, des armes à feu, chassaient des êtres humains! Telle était la situation : des êtres comme nous en apparence, mais sans intelligence, étaient traités comme des bêtes par des singes qui eux avaient une intelligence similaire à celle de l’humanité terrestre des trois explorateurs.

Après sa capture, Mérou eut le loisir d’étudier la société des singes. Elle est constituée de groupes raciaux distincts, soit, les gorilles, du type militaire, pratique et autoritaire, l’orang-outan, respectueux des dogmes, académicien sentencieux et le chimpanzé, le seul des trois capable d’une pensée un tant soi peu créatrice.

Après avoir due prouver qu’il était doté de la parole et d’une intelligence, il se lia d’amitié avec Zéra et Cornellius, deux savants chimpanzés avec qui il put visiter la ville pour s’apercevoir de la très grande similitude de cette société de singes et celle des homo-sapiens qu’il avait quitté sur la terre. La technologie, les transports, la science, tout ressemblait à l’Amérique du Nord ou l’Europe. Au contact d’Ulysse Mérou, Cornellius découvrit une vérité profonde, particulièrement par la visite d’une cité ancienne mise à jour par des archéologues, qui prouvait l’origine humaine de toute cette société des singes. Une poupée de forme humaine vielle de 10000 ans, ayant un mécanisme lui faisant dire « papa ». Consterné, le savant singe due reconnaître que son espèce, dépourvue elle-même de sagesse, perpétue la civilisation par un processus d’imitation. Ils ont « singé » l’être humain et réussirent même à le supplanter.

Des expériences sur le cerveau humain par les singes est le procédé utilisé par l’auteur, pour nous faire découvrir comment cette inversion des rôles arriva. Des cobayes humains sous l’influence de substances chimiques, révèlent des souvenirs inconscients non pas de leur propre vie, mais de leur espèce, des événements vécues par leur lignée il y a des générations. Avec des électrodes sur le cerveau, une femme raconta :

« Ces singes, tous ces singes, disait la voix avec une nuance d’inquiétude, depuis quelques temps, ils se multiplient sans cesse, alors que leur espèce semblait devoir s’éteindre à une certaine époque. (…) Ils deviennent arrogants. Ils soutiennent notre regard. Nous avons eu tort de les apprivoiser et de laisser une certaine liberté à ceux que nous utilisons comme domestiques. »
« Ça y est! L’un d’eux a réussi à parler. C’est certain, je l’ai lu dans le Journal de la Femme. Il a sa photographie. C’est un chimpanzé. (…) Il y en a d’autres. Le journal en signale tous les jours de nouveaux. Certains savants considèrent cela comme un grand succès scientifique. Ils ne voient pas où cela peut nous mener? »

L’homme apprivoisa les singes, il entreprit même de leur montrer à parler. Ils apprirent et par imitation, ils réussirent à prendre sa place au faîte de sa propre civilisation.
Cette relation de l’homme blanc et du singe dans le roman, illustre la relation dans le monde réel de l’homme blanc européen et de l’homme asiatique.

N’est-ce pas le caractère essentiel de l’économie extrême orientale, de saisir les inventions de l’homme blanc et de les exploiter dans des entreprises manufacturières empruntant toute leur science aux entreprises similaires en Amérique ou en Europe, avec une efficacité spectaculaire et confondante, qui met nos propres travailleurs au chômage? Les Suisses inventèrent le mouvement des montres au quartz, mais ce sont les Japonais qui les fabriquèrent. Ils ne font aucune science fondamentale, n’invente pratiquement rien en dehors de gadgets électroniques.
Le roman à un message plus profond que de s’inquiéter de notre compétitivité économique. Il s’agit plutôt de nous éveiller à la réalité de l’évolution, de nous faire sentir le grand péril encouru par notre race et la précarité de son avenir. Et j’ajoute, son inconscience, son insouciance, sa passivité, sa générosité et sa confiance envers les autres lui seront fatales.

Ce rapprochement entre asiatique et singe, abondamment souligné dans Le Pont de la rivière Kwaï, doit être entendu sans mépris. Avec leur conformité aux propagandes du moment, homophilie, antiracisme etc., les Blancs eux pourraient être associés à des moutons ou des lemmings et il n’est pas question nier les mérites des races d’Extrême orient. Cependant, comme interpréter autrement l’œuvre de Pierre Boulle ?

Le triomphe de la soi-disant raison et de la science au 18ème siècle, n’a-t-elle pas menée à une impasse ? Nous recherchons la connaissance pour la connaissance, le travail bien fait et l’efficacité comme valeurs en soit, alors qu’ailleurs, ces connaissances et cette efficacité sont appliquées à notre destruction.

La valeur en soit ne devrait-elle pas être, ce qui est bon pour les nôtres ?

L'Immoralité contre-nature de l'aide internationale







Donc, sous l’éclairage des théories du professeur MacDonald (voir le message précédent), nous comprenons que le judaïsme doit être perçu comme la grande stratégie de survie d’une race, qui consiste à vivre parmi les autres tout en se maintenant génétiquement séparée. Pour y arriver, les juifs maintiendront pour eux-même un très haut niveau de solidarité communautaire, mais par leur influence sur les courants de pensée et leur contrôle des mass-médias, à l’âge moderne particulièrement, ils réussiront à rendre immorale la solidarité communautaire des nations qui les accueillent.

Nous vivons dans un système moral où toute forme de solidarité raciale est jugée la pire chose possible, la plus honteuse, particulièrement au sein des nations d’origine européenne.

Pour illustrer le caractère malsain et contre-nature de cette moralité, et dans le contexte de l’anniversaire de la catastrophe naturelle causée par les tsunamis en Extrême-Orient, je propose la lecture d’un article paru dans American Renaissance.



Il se trouve à cette adresse :




J’en fait ici un résumé et une traduction personnelle.


Vol. 6, no. 7, juillet 1995



La Moralité de la Survie



Nous sommes sous l’emprise d’un système moral universaliste en rupture avec les lois de la nature et peu importe combien cette morale nous semble bonne, elle mène l’Occident, qui a généré absolument tout ce qui compose le monde moderne actuellement, à sa ruine inévitable.

L’homme européen, de race nordique ou alpine, aura cessé d’existé en tant qu’entité distincte, si les taux d’immigrations et de natalité continuent ainsi et ne sont pas altérés bientôt.

Tout questionnement sur le sort des responsables de la civilisation technologique, est immédiatement avorté par les accusations de bigoterie, de racisme et de xénophobie. Mais ce système moral altruiste destructeur, disparaîtra lui-aussi, avec la disparition de l’Occident.

Selon quels critères doit-on corriger ce système moral dénaturé? Est-il moral pour un groupe ethnique et les individus qui le compose de veiller à leur propre survie? Quels sont les moyens moraux que nous pouvons prendre assurer cette survie? Quels sont les bases morales d’une civilisation qui ne veut pas disparaître? Mr. Richard McCulloch appel ces questions, l’étique ultime.


Le Dilemme moral de l’Occident

C’est une erreur de croire que l’on peut étendre l’altruisme au-delà de son origine évolutive, à savoir l’altruisme à l’intérieur du groupe de parenté raciale.

Mais ce débat est mené sous la chape de l’obscurantisme, où l’importance de la génétique est niée et, comme au temps de la Grande Noirceur moyenâgeuse, il est dominé par des affirmations moralisatrices plutôt que par les faits scientifiques.

L’auteur Garrett Hardin, démontra dans son ouvrage « Discriminating Altruisms », que les groupes raciaux qui pratique un altruisme sans limites, seront nécessairement supplantés par ceux limitant leur altruisme à leur propre groupe.

A la base, si il n’y avait que des individus égoïstes, l’apparition dans ce contexte de la famille, doit être mise sur le compte d’un avantage évolutif, c’est-à-dire, l’individus tire plus qu’il ne sacrifie à ce système de solidarité.

Par la suite aussi, la création du clan au-delà de la famille, de la nation au-delà du clan, doivent être basés sur ce même avantage évolutif, sauf le dernier et ultime saut : la solidarité des nations, le « One Worldism », car il n’y a aucun avantage compétitif qui le supporte. L’Universalisme ne peut remporter la compétition contre la discrimination.

Trois milliards d’années d’évolution biologique, ont consacré la discrimination comme le grand facteur actif dans la sélection des espèces. Sans l’impulsion pour sa conservation, (par le biais d’un altruisme limité à son propre groupe) chaque maillon de la chaîne évolutive jusqu’à l’homme, aurait sombré dans l’oubliette évolutive. L’Occident fait profiter le monde entier du fruit de son travail et de son génie créatif (sans nous, les peuples asiatiques ont stagnés pieds nus dans leur rizières pendant des millénaires). Mais le résultat ultime sera sa disparition sous la poussés des groupes qui ne pratiquent pas ce système moral, mais un altruisme limité à leur propre groupe.


La Race Cosmique

Selon Lawrence Auster, auteur de l’ouvrage [u]The Path to National Suicide[/u], An Essay on Immigration and Multiculturalism, le libéralisme moderne soutient une utopie qui ne s’est jamais réalisée, une société multiraciale où toutes les races sont intégrées. Mais après avoir submergé les nations européennes par l’immigration sans obtenir l’harmonie escomptée, ces gens ont alors convenu plutôt de l’élimination pure et simple de la race blanche. Ils ont donc racialisé leur discours et l’on rendu génocidaire.

Ce changement d’attitude à été signalé par la page couverture d’une édition spéciale du Time, montrant une image composée par ordinateur d’un visage féminin comprenant les caractéristiques de toutes les races aux États-Unis. Le message était que nous devions être tout ce qu’il y a de plus favorable à la chose.

L’aboutissement de cette entreprise est la création de ce que certains appellent la « Race Cosmique ».

Les blancs sont 10% de la population, mais n’on que 5% des naissances, avec un taux de natalité de 1.8 enfant par femme. Le tiers-monde continue d’avoir une forte natalité, due en grande partie à notre aide en nourriture, médicaments et en « maintient de la paix ».

Le résultat final sera un individu qui aura de ses 16 arrières arrière grand-parents, un seul de race blanche, 10 asiatiques, 3 Africains et 2 de l’Amérique Latine non-blanche et des Caraïbes.

Il n’aura pratiquement aucune caractéristique européenne discernable. Et le résultat sera une éradication de la diversité biologique que les multiculturalistes prétendent chérir.

La Convention des Nations-Unies sur le génocide décrit le génocide comme étant « …la destruction, en tout ou en partie, d’un groupe ethnique ou racial. Les actes définis incluent… la destruction des conditions nécessaires pour l’existence physique de ce groupe… »

Il ne faut pas laisser aux propagateurs de ce génocide le soins de définir les termes du débat, plaçant certains sujets hors des limites de la discussion.


Un Double code de moralité

L’altruisme est paradoxal en terme évolutif. L’individu altruiste se sacrifiant pour autrui, risque d’avoir moins la chance de transmettre son patrimoine génétique altruiste. Ainsi ce trait devrait tendre à disparaître.

Mais, s’écartant d’un point de vue strictement individuel, si l’on considère la transmission du patrimoine génétique des semblables, les frères, les cousins, les nièces et neveux etc., d’un point de vue évolutif, l’acte altruiste sert la propagation génétique.

Ainsi, avec le temps, la sélection naturel favorisa le développement d’un nouveau code de moralité, dictant l’altruisme envers ses semblables, mais son contraire envers les autres. Un code ami/ennemi.

Ce code est incontournable et ne peut être éliminé de la société humaine.

Dans un monde encombré d’éléments indifférentiables, la valeur évolutive de l’altruisme est égale à zéro. Mis en commun, le caractère est tout bonnement perdu, jusqu'à ce qu’il y ait recréation des tributs et donc fin de l’altruisme.

Les libéraux ont mené campagne pour l’élimination du sentiment national dans l’espoir d’amener une ère de paix universelle. Mais le tribalisme ne peut être éliminé sur le plan évolutif, puisque nécessairement favorisé par le processus de sélection naturel. Lorsqu’unilatéralement un groupe élimine son sens de la tribut, il sera simplement supplanté par ceux qui ont retenu le leur.

Le double code de moralité doit être la pierre angulaire de tout code moral qui puisse durer. La moralité de l’esprit tribal revient à ce demander : est-il moral qu’un groupe veuille survivre? Il faut répondre oui. Ce qui est inextricable des lois de l’Univers doit être moral.

Les universalistes peuvent tenter par la caricature, d’équivaloir ce système avec l’amoralité chez l’individu, mais dans les faits, il se pratique tout les jours sans que l’on y prête attention. A l’intérieur de la famille, des entreprises, des parties politiques etc.

Le code ami/ennemi est à l’origine de la loyauté raciale. Il est normal et naturel. Ainsi les parents aiment mieux leurs propres enfants que ceux des autres. L’épithète « racisme », devenu un mot lançant la malédiction et devant arrêter net toute discussion, est appliquée lorsque la race blanche exprime SA loyauté raciale. Mais elle n’est utilisée QUE pour la race blanche, ce trait est jugé normal et naturel chez les autres groupes. Ce mot n’est qu’un moyen d’exercer du pouvoir sur les gens ayant des scrupules moraux.

(Ici je me permet de paraphraser Honoré de Balzac : « La moralité devrait surtout concerner les corbeaux, mais n’ennuie que les colombes. » Quelque part dans Illusions perdues.)


La Diversité Biologique

Loyauté et sentiments raciaux ont pour origine les différences biologiques. Voir J. Philippe Rushton, Race Evolution and Behavior. Cela ne veut pas dire qu’une race doit dominer les autres et ce qui est scientifique ne doit pas être jugé de façon péjorative.

La plupart des comportements jugés racistes chez les blancs n’impliquent pas d’attaques non-provoquées sur les autres races, mais ne sont que l’expression de loyauté envers leurs semblables nécessaire à la survie. Statistiquement parlant, les blancs sont très largement les victimes de crimes raciaux, non pas les auteurs.

Aux États-Unis, les noirs sont 12% de la population, mais y commettent presque les deux tiers des crimes violents et sont 12 fois plus susceptibles de tuer un blanc qu’un blanc de tuer un noir. Les noirs toujours, sont 1000 fois plus susceptible de violer une femme blanche que l’inverse, un homme blanc de violer une femme noire. La moitié des victimes de la violence des noirs sont blancs, seulement 2% de la violence des blancs sont noirs.

(Les crimes rapportés dans les médias peuvent cependant montrer la proportion totalement inverse.)

Et cela n’est que la manifestation du principe biologique selon lequel, deux espèces ne peuvent survivre dans le même espace géographique. L’une sera éliminée par l’autre.

Même sans le carnage des crimes inter-raciaux perpétrés contre eux, les blancs ne peuvent survivre en compagnie des noirs. Vue en terme biologique, la diversité ethnique n’est que le prélude à la destruction.

2005/12/19

The Culture of Critique par Kevin MacDonald, un résumé de Stanley Hornbeck


Photo: le Professeur Kevin MacDonald, professeur de psychologie à l'Université de Long Beach en Californie.



Commençons par présenter une traduction personnelle d'un texte m'ayant apporté une grande lumière sur le monde actuel.

Il s’agit d’un résumé écrit par Stanley Hornbeck de l’ouvrage du professeur MacDonald The Culture of Critique: An Evolutionary Analysis of Jewish Involvement in Twentieth-Century Intellectual and Political Movements, Praeger (1998), 379 pp.

Vous pouvez retrouver le texte en version intégrale ici :

http://www.heretical.com/miscellx/culturec.html


À cette adresse, il est possible de se procurer les ouvrages de Kevin MacDonald :

http://www.csulb.edu/~kmacd/books.html



The Culture of Critique résumé par Stanley Hornbeck


Dans The Culture of Critique, Kevin MacDonald soutient avec force une thèse sur l’influence des juifs dans les sociétés occidentales, venant mettre en contexte la culpabilité de l’Europe envers ce peuple généralement tenu comme étant le plus persécuté de l’histoire. Cette thèse démontre que certains courants intellectuels, largement établis et promus par des juifs, étaient des moyens conscients ou inconscients, pour influencer les sociétés européennes d’une manière largement bénéfique à l’intérêt des juifs, mais domageable pour les sociétés non-juives.

The Culture of Critique termine une impressionnante trilogie du Professeur MacDonald sur le rôle des juifs dans l’histoire, écrite du point de vue de la socio-biologie. Le premier volume, A People that Shall Dwell Alone, décrit l’intense sentiment des juifs de leur caractère unique qui les maintint génétiquement séparés de leurs populations d’accueil. Le second volume, Separation and its discontents, attribut l’anti-sémitisme à leur domination des sphères commerciales et intellectuelles dans la société non-juive et à leur refus de s’assimiler.

Ces mouvements intellectuels dont parle The Culture of Critique sont, le marxisme, la psychanalyse freudienne, l’école de sociologie de Francfort et l’anthropologie boasnienne. Professeur MacDonald retrace également le rôle critique des juifs dans la promotion du multiculturalisme et de l’immigration. Il soutient que ce fut en tant que juif pour l’intérêt juif, démontrant ainsi une solidarité ethnique que justement ils réussirent à rendre immorale lorsque affichée par les autres groupes.


Célébrons la diversité

Les juifs travaillèrent à jeter le discrédit sur les institutions fondamentales de la société des gentils (manière traditionnelle d’appeler les non-juifs), à savoir le patriotisme, la loyauté raciale, la morale chrétienne, l’homogénéité sociale et la licence sexuelle, mais tout en préservant ces valeurs à l’intérieur de leur communauté, notamment en relation avec l’État d’Israël.

Cette attitude correspond à l’intérêt juif dans la perspective d’une grande stratégie de survie, qui consiste à vivre parmi les autres, tout en conservant un esprit communautaire à part de la société d’accueil. Cette attitude sera moins visible et moins sujette à la réprobation si au contraire de la leur, l’identité nationale et raciale de la société d’accueille est diluée et affaiblie.

Professeur MacDonald site Mr. Charles Silberman : "American Jews are committed to cultural tolerance because of their belief - one firmly rooted in history - that Jews are safe only in a society acceptant of a wide range of attitudes and behaviors, as well as a diversity of religious and ethnic groups. It is this belief, for example, not approval of homosexuality, that leads an overwhelming majority of American Jews to endorse 'gay rights' and to take a liberal stance on most other so-called 'social' issues."

“Les Juifs américains sont dévoués à la cause de la tolérance culturelle de par leur croyance, fermement ancrée dans leur histoire, que les juifs sont en sûreté seulement dans les sociétés qui acceptent un large éventail d’attitudes et de comportements, autant religieux qu’ethniques. C’est pourquoi la majorité des juifs américains appuie la cause gai, tout comme la plupart des causes sociales dites libérales, sans pourtant approuver l’homosexualité. »

Ainsi, le slogan « La diversité fait notre force » est plutôt fait pour diluer l’homogénéité de la société et ainsi améliorer la sécurité des juifs. Ce qui est important, c’est ce qui est bon pour les juifs non ce qui est bon pour le pays.

Ainsi, un économiste juif à pu déclarer voter démocrate au États-Unis, bien que les Républicains aient selon lui des politiques économiques plus sensées. Car : "I'd rather live in a country governed by the faces I saw at the Democratic convention than those I saw at the Republican convention."

« Je vivrais plus volontiers dans un pays peuplé de visages comme ceux que je vois dans les conventions démocrates plutôt que Républicaines. »

Ou encore, Mr Earl Raab, ancien président de la très juive Brandeis University, montrait sa satisfaction de ce que vers 2050, les blancs seront une minorité aux États-Unis, et qu’ainsi aucun parti d’idéologie pro-Aryenne ne pourra plus jamais prévaloir. Le peuple fondateur et bâtisseur du pays peut disparaître, peut être sacrifié, si cela est bon pour les juifs.

Il continue : "We [Jews] have been nourishing the American climate of opposition to bigotry for about half a century. That climate has not yet been perfected, but the heterogeneous nature of our population tends to make it irreversible..."

“Nous (juifs) avons nourri le mouvement d’opposition à la bigoterie durant un demi-siècle. Ce climat n’a pas été mené à perfection. Mais le caractère hétérogène de la population rend la chose irréversible… »

Professeur MacDonald retrace les diverses sources de cette promotion de la diversité.

Franz Boas (1858-1942) réussit presque à lui-seul, à redéfinir les contours de l’anthropologie en éliminant toute les explications à caractère biologique pour expliquer les comportements et les cultures humaines. Lui-même et ses disciples, avec les exceptions notable de Margaret Mead et Ruth Benedict, étaient juifs ayant une très forte identification juive. Mais que ce mouvement ait poursuivit un intérêt juif, a toujours été très bien caché.

En 1915, Boas et ses étudiants contrôlaient l’American Anthropological Association et vers 1926, ils étaient à la tête des départements d’anthropologie de toute les universités importantes des États-Unies. Imposant une vision anti-génétique où la race et la biologie sont déterminées sans importance, ils fournirent le support intellectuel aux politiques d’immigration sans contrôle, d’intégration et de métissage des races. Et aussi, l’environnement étant le seul facteur d’influence sur les sociétés et les races étant semblables dans leur potentialité à développer la civilisation, toutes les difficultés des peuples non-blancs devaient être mises sur le compte de l’oppression par les blancs. Furent justifiés aussi, les programmes gouvernementaux ruineux destinés à intervenir sur les environnements sociaux.

Le mouvement des « Droits Civils » a été la conséquence naturelle de la pensée boasnienne. Toutes les races étant semblables, toutes barrières entre elles sont immorales. Ce fut l’initiative de juifs qui soutint la création de la NAACP (National Association for the Advancement of Colored People) et jusqu’en 1975, tous les présidents de l’association étaient juifs. [À l’époque, la nomination du premier noir après un siècle d’existence a certainement été traitée par les médias comme une démonstration du racisme de la société.] Le nationaliste noir Marcus Garvey d’ailleurs en 1917, était ressorti furieux des bureaux de l’association n’y ayant vu que des blancs!

Le texte des lois qui découlèrent de ce mouvement des droits civils, où les juifs jouèrent un rôle critique, étaient en fait écrit par des juifs, appartenant à ces agences juives, introduites par des législateurs juifs.

L’école boasnienne d’anthropologie, a également développé une pensée critique de l’occident, lui reprochant son homogénéité, son caractère répressif en regard de la sexualité en particulier, en contraste avec une vision idyllique des cultures du tiers-monde.

Ainsi, tout ce qui est propre à l’homme occidental devint l’objet d’un sens critique surdéveloppé, alors que tout ce qui est primitif sera jugé avec indulgence, attribuant même la barbarie et la cruauté que l’on y retrouve, à l’influence de l’homme blanc.


La Personnalité Autoritaire

Pour ouvrir les sociétés d’origine européenne à l’immigration, il fallait délégitimer la solidarité raciale et l’attachement aux traditions. L’école de sociologie de Frankfort s’est dédiée à cette tâche. Max Horkheimer écrivit : « Research would be able here to transform itself directly into progaganda ».

“La recherche doit directement devenir de la propagande.”

Outre Mr Horkheimer, ce mouvement, financé par un milliardaire juif durant la République de Weimar, comprenait parmi ses membres les plus importants, T.W. Adorno, Erich Fromm et Herbert Marcuse. Tous étaient juifs et ressentaient une intense identité juive. À l’arrivée du nazisme, cette école émigra aux États-Unis à l’Université de Berkeley.

Ce mouvement intellectuel produisit des ouvrages tels, Anti-Semitism and Emotional Disorder et surtout Authoritarian Personality.

Ce dernier ouvrage, par T.W. Adorno, établit la prémisse que toute forme de filiation, même la famille immédiate!, a pour cause un désordre mental. Aucune distinction entre les groupes ne peut être justifiées, aussi relèvent-elles du préjugé.

Mais cette loyauté à la tradition et au groupe décriée par Horkheimer et Adorno, constitue précisément le support de l’identité juive. Mais leur critique acerbe ne concerne toujours que les sociétés non-juives. Et alors que la réussite sociale et l’investissement parentale sont des valeurs primordiales dans la communauté juive, ils valorisent la vie de bohème, la promiscuité sexuelle et la pauvreté. The Authoritarian Personality eut une grande influence sur la révolution des années soixantes.

Est notée aussi, la contribution de l’intellectuel juif Français Jacques Dérida, qui découle de cette école.

« The idea behind deconstruction is to deconstruct the workings of strong nation-states with powerful immigration policies, to deconstruct the rhetoric of nationalism, the politics of place, the metaphysics of native land and native tongue… The idea is to disarm the bombs… of identity that nation-states build to defend themselves against the stranger, against Jews and Arabs and immigrants… »

(Traduit par moi du mieux possible.)

“L’idée derrière la déconstruction est de déconstruire l’œuvre des États-Nations dotés de politiques d’immigration stricte, de déconstruire la rhétorique du nationalisme, la politique de l’espace (national?), la métaphysique de la terre natale et de la langue maternelle… L’idée est de désamorcer la bombe… de l’identité de l’État-Nation inventée pour se défendre contre les étrangers, contre le juif et l’arabe et l’immigré »

[Est-il nécessaire de rappeler qu’il faut un lien directe avec le peuple juif pour émigrer en Israël.]

Ainsi, ces courants de pensée ont eut pour objet d’associer la moindre des préoccupations exprimées par les populations d’origine européenne face à leur statut, leur avenir et leur éclipse possible, comme étant irrationnelles et le symptôme d’une psychopathologie et ce malgré qu’ils étaient soutenu par des auteurs appartenant eux-mêmes au groupe sans doute le plus ethnocentrique au monde. Et aujourd’hui, preuve de la réussite de ce mouvement, un défenseur des intérêts spécifiques de la race blanche sera vu comme une personne haineuse ayant une personnalité inadéquate.


Immigration

De tout les groupes ethniques, seul les juifs ont fait la promotion de l’immigration au profit de tous les groupes, et non pas seulement au leur, et le seul aussi à l’avoir fait de façon continuelle. Leur intérêt est d’amener cette « diversité » à l’intérieur de laquelle ils se sentent mieux à l’aise.

Israel Zangill est l’auteur de la pièce de théâtre écrite en 1908, The Melting Pot, et pour qui la paix mondiale doit passer par l’abolition des frontières et des passeports. Il est cependant un ardent sioniste et adversaire des mariages des juifs à l’extérieur de la communauté.

La Statue de la liberté a été un don de la France aux États-Unis en l’honneur de ses traditions politiques (établies par la révolution de 1776 et la constitution qui en a découlée dont la teneur était fortement racialiste). Cependant, un sonnet écrit par une juive nommée Emma Lazarus, a été ajouté sur le socle du monument plusieurs décennies après sa construction pour le détourner de son sens originel et en faire un symbole en faveur de l’immigration : « huddled masses yearning to breath free/The wretched refuse of your teeming shore. »

Des juifs et des organisations juives tel the American Jewish Committee on travaillés de longue haleine pour transformer l’Amérique, suggérant, de façon tout à fait mensongère, que son esprit repose sur la diversité et l’accueil de gens de toutes origines, malgré que les lois d’immigration jusqu’alors avaient toujours été conçues pour y maintenir une population blanche.

En 1965 la loi sur l’immigration à été modifiée et cela a engendré une modification radicale de la composition raciale des États-Unis. C’était le but recherché par les juifs depuis le début. [La coïncidence (?) fait en sorte que c’est cette même année où les lois d’immigration au Canada ont été aussi modifiées. Notons aussi qu’à l’époque, il était nié que ces lois auraient un impact. Lysianne Gagnon (« journaliste » philosémite et enjuivée à l’extrême) par exemple écrivait dans les années 80 que les bigots et racistes opposés à la modification de ces lois, étaient tout à fait irrationnels, les nouveaux arrivants étaient si peu nombreux disait-elle qu’ils ne changeraient à peu près pas la composition du pays. Aujourd’hui nous la voyons célébrer la diversité.]

Professeur MacDonald soutient que les juifs ont été aussi défenseurs de l’immigration dans les autres pays de l’hémisphère nord, l’Angleterre, la France et le Canada par exemple. (Il évoque même le fameux commentaire de Jacques Parizeau à propos de l’argent et des ethnies). Citant un éditorial paru dans l’Australian Jewish Democrat : "The strengthening of multi-cultural or diverse Australia is also our most effective insurance policy against anti-Semitism. The day Australia has a Chinese Australian Governor General I would feel more confident of my freedom to live as a Jewish Australian."

“Le renforcement d’une Australie multiculturelle est aussi notre meilleur assurance contre l’anti-sémitisme. Le Jour où l’Australie aura un Gouverneur général Chinois, nous nous sentirons plus en confiance en tant que Juif Australien. »

[Pensons à notre Gouverneur général au Canada, Adrienne Clarkson, une demi-chinoise, mariée à Mr. John Saul, un juif.]


Les Juifs et la gauche

Les juifs ont toujours été associés aux mouvements de gauche, ce qui se comprend vu l’hostilité des populations à leur endroit après leur émancipation. Mais Professeur MacDonald leur prête aussi l’intention de rechercher par le triomphe des idées universalistes, la destruction des solidarités communautaires des gentils qui pourraient exclure les juifs. Et ceci, toujours en se préservant eux-même de cette dissolution des identités.

La Révolution bolchevik de 1917, mit fin à un état notoire pour son anti-sémitisme, donna des opportunités aux juifs en tant qu’individus et créa une société sans classes, interprétant tous les conflits en termes économiques plutôt qu’ethniques. L’Union Soviétique pouvait donc être une terre promise pour les juifs, dépourvue d’anti-sémitisme.

Ces juifs communistes étaient juifs avant tout, puisque lorsque tombèrent les gouvernements communistes d’Europe de l’Est, qu’ils dominaient largement, beaucoup émigrèrent en Israël. Il en alla de même lorsque Staline s’avéra un opposant à leur pouvoir. Ils devinrent les plus importants dissidents du système communiste.

Professeur MacDonald rappelle aussi le régime bolchevik de Bela Kun, dont 95% des dirigeants étaient juifs, qui régna sur la Hongrie de 1919 à 1921. [Il y eut entre 1000000 et 1500000 morts durant les 18 mois du régime. Avez-vous entendu parlé de crime contre l’humanité à ce sujet?]

Beaucoup de communistes, lorsqu’interrogés, révèlent leur attachement à l’identité juive, n’ayant par exemple, jamais envisagé de se marier à l’extérieur de la communauté juive.

Lorsque l’Union Soviétique en 1967 coupa ses relations diplomatiques avec Israël, c’était le comble. Un ancient militant du Students for a Democratic Society (SDS), déclara être juif avant tout : "If I must choose between the Jewish cause and a 'progressive' anti-Israel SDS, I shall choose the Jewish cause. If barricades are erected, I will fight as a Jew."

“Si je devais choisir entre la cause juive et l’SDS « progressiste », je choisirait la cause juive. Sur les barricades, je me battrait en tant que juif. »

Ainsi, ils eurent ensuite tendance à investirent les milieux plus conservateurs qui devinrent le mouvement néo-conservateur, dont les positions les plus inébranlables seront, un haut taux d’immigration et le support à Israël. Ils s’assurèrent aussi d’y exclure toute forme d’identification raciale blanche sous le vocable de « droite respectable ».


Les Objections

Peut-on comprendre les motivations d’un autre peuple comme le prétend Professeur MacDonald? Les juifs se considèrent eux-même « lumière des nations » « peuple choisi », un bienfait indispensable à l’Humanité. Leurs bienfaits tendent cependant à détruire purement et simplement les traditions et les loyautés à l’intérieurs de la société des gentils. Le font-ils délibérément ou cherchent-ils sincèrement à corriger ce qu’ils croient être mauvais?

Professeur MacDonald fait intervenir la notion d’auto-mystification (self deception). Ces juifs travaillent bel et bien pour l’intérêt de leur groupe racial, mais se sont convaincus du contraire et deviennent ainsi beaucoup plus persuasifs.

Les juifs ne sont pas toujours conscients à quel point leur judaïté est importante pour eux-mêmes. Pourtant ils ont un sens identitaire très aiguë. Le théologien Eugene Borowitz a déclaré : ,"most Jews claim to be equipped with an interpersonal friend-or-foe sensing device that enables them to detect the presence of another Jew, despite heavy camouflage."

“La plupart des juifs affirment être équipés d’un détecteur d’amis ou d’ennemis, qui leur permet de percevoir la présence d’un autre juif, quelque soit le camouflage. »

Les déclarations des juifs laissant croire au contraire à un faible niveau d’identification racial peuvent être trompeuses. Des publications juives admettent le grand pouvoir de leur communauté aux États-Unis, en des termes qui seraient jugés anti-sémites si ils étaient utilisés par des non-juifs. Comme le déclara Joseph Sobran : "they want to be Jews among themselves but resent being seen as Jews by Gentiles. They want to pursue their own distinct interests while pretending that they have no such interests..."

“ils veulent être juifs entre eux, mais s’opposent à ce que les gentils les voient comme juifs. Ils veulent poursuivre leur intérêts propres, tout en prétendant ne pas avoir de tels intérêts. »

Le succès de cette entreprise d’influencer les mouvements intellectuels, demandait à ce que leur caractère juif soit invisible. Les intellectuels non-juifs ont donc été incapable de voir ces mouvements comme des produits de la culture juives, destinés à poursuivre l’intérêt juif. Pour y arriver, souvent des non-juifs agissants comme homme de paille (token gentile) étaient recrutés pour réaliser ce camouflage. La chose était si flagrante au parti communiste américain, que beaucoup firent défection.

Comment expliquer cet extraordinaire succès malgré leur faible nombre. Professeur MacDonald fait jouer pour beaucoup le quotient intellectuel des juifs qui, à 115, les place sur un palier supérieur aux européens. Aussi, leur énergie et leur cohésion. L’ardeur d’une minorité bien structurée a supplanté une majorité désorganisée.

Les juifs ont été une condition nécessaire à l’émergence de ces mouvements intellectuels de gauche durant le vingtième siècle. Citant Walter Kerr, qui en 1968, écrivit : « "what has happened since World War II is that the American sensibility has become part Jewish, perhaps as much Jewish as it is anything else... The literate American mind has come in some measure to think Jewishly."

“Ce qui arriva depuis la seconde guerre mondiale, c’est que la sensibilité américaine devint en partie juive, peut-être essentiellement juive… L’esprit de l’Américain lettré est devenu juif ».

La théorie du Professeur MacDonald a certainement le mérite de faire la lumière sur le phénomène de dépossession de la race blanche, qui, il y a tout juste quelques décennies, était pleine de confiance en elle-même, fière de ses réalisations, sûre de sa capacité à dominer le monde. Aujourd’hui, elle est en déclin démographique, perpétuellement contrite, honteuse de son histoire et même incertaine d’avoir le droit de posséder des territoires qu’elle occupe depuis des siècles. Il est rare que des idées et des concepts soient renversés ainsi en si peu de temps, laissant suggérer que les causes de ce changement ne sont pas entièrement naturelles.

2005/12/18



Pour que nous ayons un avenir

Il faut sonner l'appel de la race.